Oui, c’était contagieux : en ce moment, c’est Crédit Suisse qui appelle au secours la Banque Centrale suisse.
P.S. Pas moyen de lire en paix les comptes-rendus de la sortie de GPT-4 ! (avec ChatGPT on n’était pas sûr que ce soit la cavalerie dont on entendait les clairons dans le lointain, mais avec GPT-4, plus aucun doute n’est permis !).
Je vous tiens au courant de tout ça.
La Banque centrale européenne demande aux banques de son ressort de signaler leur exposition à Crédit suisse.
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