Un extrait de mon billet du 26 novembre, quand j’évoque pour la première fois le fait divers en question :
Première bizarrerie : deux autres colocataires n’ont pas été inquiétés et n’ont même rien entendu. Ce qui me fait penser que l’assassin a été entraîné à tuer à l’arme blanche sans que la victime ne pousse un cri.
À l’appui de mon hypothèse :
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