… c’est juste l’innocent Metropolis (1927) de Fritz Lang, colorisé.
Connaissant l’admiration de Godard pour Fritz Lang (1890-1976), qu’auriez-vous fait à sa place ?
… bien entendu : vous lui auriez demandé de jouer dans un de vos films.
*Godot est mort !*
… c’est juste l’innocent Metropolis (1927) de Fritz Lang, colorisé.
Connaissant l’admiration de Godard pour Fritz Lang (1890-1976), qu’auriez-vous fait à sa place ?
… bien entendu : vous lui auriez demandé de jouer dans un de vos films.
Je serais allé déposer une plainte au Commissariat le plus proche.
🙂
« Une réalité qui ne se décompose pas ».
C’est la pensée qui s’évertue à décomposer pour chercher à « comprendre » mais la réalité est une et indivisible, elle est « à prendre ou à laisser ».
Donc, si la tragédie est ce qui remet en question la place de l’homme dans le monde réel ; le Mépris serait-il de ne plus nous en inquiéter, surtout si dorénavant « les marchands ont gagné » ?
Car, force est de constater que depuis la fin de la seconde guerre mondiale, par l’évolution croissante de la communication de masse (publicité, grands médias, etc.), le spécialiste en communication (comme un allié obscur du capitalisme) s’est en quelque sorte érigé en nouvel intellectuel, ou plus exactement, a effacé peu à peu le (vrai) intellectuel du devant de la scène publique.
En effet, si le rôle de l’intellectuel est par définition de produire des idées, celui de l’expert en communication sera de remplacer l’idée par l’objet. Ainsi, la communication de masse a poussé dans l’ombre le monde de l’interactivité entre le réel et l’homme pour le remplacer par un monde imaginaire du symbolique et de l’émotionnel ; ce dernier offrant la promesse à l’homo-consommatus (animal dépensant, qui cesse de penser) qu’il lui apportera quelque chose de plus fabuleux qu’une réalité non décomposable, en se fractionnant en toujours plus de marchandises déshumanisantes.
Dès lors, comment faire face à la pression de l’immédiateté et échapper à cette contamination mercantile du réel ?
Jean Baudrillard : « Ce que nous apporte la communication de masse, ce n’est pas la réalité, c’est le vertige de la réalité ».
Que nous reste-t-il alors « à prendre ou à laisser » afin de mieux « aborder » la réalité des changements que nous vivons, et renverser la tendance ?
@Thomas jeanson C’est une sorte de remboursement partiel de laTVA pour un investissement privé conséquent dans l’optique de substituer à…
Il est temps de mettre fin à la guerre en Ukraine Par David Broder La situation militaire de l’Ukraine se…
La politique des États-Unis et de l’Europe reste la même : fournir des ressources au compte-gouttes sans jamais donner à…
Illustration autour de vous : dans chaque véhicule Tesla, de 4000 à 6000 euros d’argent public. Je, tu, nous subventionnons…
Il y a quand même des choses bizarres dans cette élection et tout particulièrement dans les sondages Ce n’est plus…
@PHILGILL (« Je suis face-à-face avec un photon aussi nu qu’à ma naissance ») Vous êtes pile-poil dans le problème de la…
Plaidoyer pour un photon isolé Entre moi et cet unique grain de lumière s’interpose un portrait qui montre et fait…
C’est peu dire et ça va brasser ! On va être pétri à souhait.😕 https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/union-europeenne/en-roumanie-un-candidat-prorusse-cree-la-surprise-a-la-presidentielle_6918044.html
Bien sûr, Ruiz. Sortir des missiles balistiques à plusieurs dizaines de millions d’euros l’unité, ça prend toujours un peu de…
Mango Le consommateur pour un grand nombre, n’a pas le choix, et sa situation générale ( habitat, emploi, ressources )…
Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »
Laisser un commentaire