Blog de Paul Jorion

13 réponses à “Appel aux Belges : défendons le nom « Bruges » contre son utilisation par des voyous écocides !”

1. 

   gaston

   25 septembre 2022 17h40

   Malheureusement en choisissant Bruges, il ne changeront pas d’avis ces voyous ! Encore s’ils s’étaient appelés Gand, ça se retourne. 😉

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   1. 

      François Corre

      25 septembre 2022 20h15

      https://www.youtube.com/watch?v=wfGDpzL9H7Y
      Jacques Brel – Marieke. 😉

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      1. 

         Dup

         27 septembre 2022 18h57

         A moins qu’a Londres sous la pluie on puisse les croire Anglais : https://www.youtube.com/watch?v=fGpV8rX-9oA

         🙂

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   2. 

      Christian Brasseur

      27 septembre 2022 11h39

      Ah je comprends maintenant ce que l’expression « pont aérien » signifie!

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      1. 

         Christian Brasseur

         27 septembre 2022 19h45

         trève de plaisanterie: Mme. MIEKE HOSTE, échevine des travaux de la ville de Bruges prend actuellement des mesures contre les nuisances liées au tourisme de masse à Bruges (article sur « 7 sur 7.be de ce samedi). Je lui ferai donc part de l’utilisation du nom de sa splendide ville par des voyous écocides qui n’ont sans doute pas la moindre idée de ce qu’un patrimoine culturel, architectural et historique signifie.

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         1. 

            Christian Brasseur

            27 septembre 2022 19h51

            lire  » échevine du tourisme » au lieu de « échevine des travaux »

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2. 

   Chabian

   25 septembre 2022 18h04

   « Oh shocking » ! « It was established by Lord Harris of High Cross and Oxford University student Patrick Robertson in response to Margaret Thatcher’s Bruges speech to the College of Europe in September 1988 » (page Wikipedia sur le think thank « The Bruges Group » https://en.wikipedia.org/wiki/Bruges_Group_(United_Kingdom) ).
   Notez qu’une autre « Citerne de gonflés d’idées » (je traduis) s’appelle « Le « Groupe de Bruges », créé en 1995 par E. Pisani.
   Notez également que Bruges n’existe que dans la tête des dominants du Royaume de France, de ceux de la Belgique de 1830 et de la Région flamande actuelle (qu’on appelle les fransquillons). Dans la langue locale, on dit « Brugge ».
   Se battre contre des clichés et/ou des moulins ?

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3. 

   Chabian

   25 septembre 2022 18h18

   Ils n’en n’ont plus pour longtemps, ces écocidaires : https://www.courrierinternational.com/article/panique-affolees-par-le-spectre-d-une-recession-mondiale-les-bourses-continuent-a-degringoler

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   1. 

      Guy Leboutte

      26 septembre 2022 20h30

      Chabian
      Nouriel Roubini prévoit une récession “sévère, longue et horrible et une chute des actions de 40 % » , essentiellement à cause des relèvements de taux par les banques centrales contre l’inflation. Une cure de vomissement après le gavage aux intérêts négatifs en somme. Je ne sais pas quel en serait le coût social.
      Au choix dans https://duckduckgo.com/?q=nouriel+roubini+crise+2022&t=ffsb&ia=web

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4. 

   Tout me hérisse

   25 septembre 2022 19h50

   Bruges Group est un ‘think tank’ britannique assez ancien, le seul moyen de le contrer serait de déposer un nom de domaine et un nom de marque commerciale, à moins qu’ils n’aient pris les devants?
   Alerter la commune de Bruges et vérifier leur accord avec cette dénomination ?

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5. 

   SAM

   26 septembre 2022 11h14

   Meanwhile, on the other side of the world..

   Inside China’s New $17 Billion Mega Airport – Beijing Daxing

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6. 

   Guy Leboutte

   26 septembre 2022 20h45

   Pour le sujet de ce billet, c’est à la ville de Bruges et sa chambre de commerce, éventuellement à sa population, à intervenir. Si elles trouvent ça favorable, elles ne feront rien. Si elles trouvent ça négatif ou indécent, elle pourraient sans doute facilement obtenir une interdiction. Les adversaires de la prétention du Bruges Group devraient sans doute rechercher une contestation locale.

   Bruges est sortie d’un sommeil séculaire (voir le livre « Bruges la Morte », un livre culte …au Japon), par une installation massive de colons britanniques en Inde, qui à la retraite n’avaient pas les moyens de conserver leur mode de vie au Royaume-Uni. Il y a avait des centaines (ou des milliers?) de maisons historiques vides à Bruges, la vie n’y était pas chère, et vu d’Inde c’était très proche du pays d’origine. Je ne sais pas si ce mouvement a encore un poids économique dans le tourisme brugeois. En revanche le tourisme japonais est massif dans cette ville, et des centaines de couples du pays du soleil levant se marient à la maison communale de Bruges chaque année, car c’est leur rêve, et en vertu d’un accord spécial avec l’état-civil japonais qui valide en droit interne les mariages de ses ressortissants là-bas.

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   1. 

      Guy Leboutte

      27 septembre 2022 15h06

      PS: cette « installation massive » de Britanniques et le réveil concomitant de la ville date du XIXème siècle.

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