Vie quotidienne – Les différences de talents entre garçons et filles se manifestent très tôt

06 septembre 2022 17h44

The difference between boys and girls is subtle…😏🤣👦👧🛝 pic.twitter.com/oJghOKPyv9

— Fred Schultz (@FredSchultz35) September 5, 2022

La vie de tous les jours

filles et garçons

19 réponses à “Vie quotidienne – Les différences de talents entre garçons et filles se manifestent très tôt”

Hervey

06 septembre 2022 19h30

C’est une représentation un peu convenue, conforme à une répartition des rôles qui voudrait que les individus de sexe féminin du fait de devoir un jour porter en elle un enfant, doive très tôt faire preuve d’attentions pour éviter les chutes et les chocs.
Mais n’en déplaise aux idées générales, j’ai souvent vu des filles qui étaient de vrais garçons manqués (genre « Les malheurs de Sophie »), assez loin de cette séquence.

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1. Ar c’hazh du
  
  07 septembre 2022 15h49
  
  Un garçon manqué c’est avant tout une fille réussie !
  
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  1. Hervey
    
    07 septembre 2022 16h56
    
    oui, et une fille manquée une carmélite ?
    
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arkao

06 septembre 2022 20h54

Il y a un présupposé, que l’individu avec des cheveux longs serait de sexe féminin et celui avec des cheveux courts de sexe masculin 😉 Cela ne va pas de soi, ni aujourd’hui ni dans le passé:
https://les8petites8mains.blogspot.com/2014/02/la-veture-des-enfants-trouves-5-les.html

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arkao

06 septembre 2022 20h56

😉
https://images-na.ssl-images-amazon.com/images/I/810OsnahBbL.jpg

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Garorock

06 septembre 2022 21h13

Entre la génération cromagnon et la génération ikéa, y’a eu Darwin.
Entre la génération ikéa et la génération Tiktok, y’a eu Onfray, G; Bush et justin Bieber.
C’est pas une raison pour tout mélanger. 😊

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Pascal

07 septembre 2022 7h21

Un peu plus scientifique !
Sur la différence entre garçon et fille à propos du comportement prosocial (altruisme), les préjugés et attentes de l’environnement social des enfants constituent un biais important dans les études scientifiques.

« Il est en effet plausible de croire en un processus composite d’influences où les comportements et le langage des filles et des garçons contribueraient à forger les attentes associées aux rôles sociaux de sexe de l’enseignante (et vice versa) qui agissent à leur tour sur l’évaluation de la prosocialité perçue de l’enfant. C’est là une perception sélective qui repose sur les écarts dans les manifestations comportementales et langagières des filles et des garçons, non pas sur le plan de leurs habiletés prosociales sous-jacentes. Le Conseil supérieur de l’éducation (1999) l’affirme en citant Chalifoux : “ Les rôles contrastés de chaque sexe sont forgés et accentués par des facteurs culturels à partir de différences biologiques minimes ” (p. 36). Dans le même sens, Chiland (1997) soutient que “ toute culture, comme tout individu, est confrontée à l’existence de deux sexes et brode, sur le canevas biologique, des fantasmes de ce que sont la masculinité et la féminité ”. En ce sens, toute interaction “ is doing gender ” (CSE, 1999 ; Krüger, 1998). »

https://www.cairn.info/revue-enfance1-2006-4-page-377.htm

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1. Garorock
  
  07 septembre 2022 21h57
  
  Les rôles contrastés de chaque sexe sont forgés et accentués par des facteurs culturels à partir de différences biologiques minimes ”
  “ toute culture, comme tout individu, est confrontée à l’existence de deux sexes et brode, sur le canevas biologique, des fantasmes de ce que sont la masculinité et la féminité ”
  C’est exactement ce que j’ai écrit!
  Les filles savent monter les armoires ikéa avec la notice. Y »avait pas d’armoire chez cromagnon. J’ai lu pif gadjet, jamais vu Rahan avec une clé alène!
  A partir de 8 ans, garçons et filles sont sur tik-tok. Ils montrent leur cul en révant de devenir des stars.
  Y’avait pas tik-tok dans les années 80. Mais déja des Beckam en floraison…
  Pas besoin de la science 😊
  
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écodouble

07 septembre 2022 9h17

Très scientifiquement : La différence entre les deux sexes provient juste d’une petite variation de teneur de testostérone dans les corps, à cause du « Y ».
» Y » pousse au crime.

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1. Paul Jorion
  
  07 septembre 2022 10h20
  
  Enfer et damnation ! Le réel existerait donc bel et bien ? 😉
  
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  1. Garorock
    
    07 septembre 2022 22h02
    
    Comme dit Todd (ou à peu près)
    » La seule preuve que j’ai que je ne suis pas une femme, c’est que je ne peux pas avoir d’enfants! »
    
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Dalla Vecchia Luigi

07 septembre 2022 11h08

Si les filles se mettent sérieusement au vélo et à l’écologie, les mecs suivront même s’il leur en coûte de gros efforts comme dans cette chansonnette.
Les paroles sont amusantes et en disent long sur le « softpower » des filles …. Là aussi s’exprime une différence dans les talents…
« Mungo Jerry –The Pushbike »

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Runy

07 septembre 2022 16h58

Je ne vois que deux enfants: l’un se ménage, l’autre chute accidentellement.
Le tweet ici, prend appui sur l’expérience de deux individualités, pour nous dire une chose très catégorique concernant la différence des sexes. Je n’en ferais pas de commentaires.
Pour ma part, je n’ y vois que la bêtise d’une interprétation narquoise au service de la cause féministe.
Pauvre P’tit gars, s’il savait ce que les idiots contemporains ont fait de sa malheureuse cascade!

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1. Paul Jorion
  
  07 septembre 2022 17h55
  
  Et si – au nom de l’humour – il était encore possible de donner un petit coup de pouce à la cause féministe ? Je reconnais de bonne grâce que le sens de l’humour n’a pas l’air d’être aujourd’hui le fort de la cause féministe. Ni le vôtre manifestement.
  
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  1. Runy
    
    07 septembre 2022 20h48
    
    Inversez le propos, et vous aurez la Police de la bien pensance au c…
    Faut il utiliser les ressorts de l’ironie machiste tant décrié pour réhabiliter le féminin.
    
    Aimer le féminin est une acte subversif car la tendance générale, même chez les féministes, en est le rejet.
    
    Excusez mon manque d’humour mais la voie de l’ironie est aussi glaçante que la haine des femmes.
    
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    1. Paul Jorion
      
      07 septembre 2022 22h59
      
      « La haine des femmes » ? Vous n’avez donc pas même compris que la petite vidéo se moque gentiment des garçons et non des filles ? Décidément, votre manque d’humour se double d’un sectarisme la menace aux dents qui vous empêche de penser correctement.
      
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2. Garorock
  
  07 septembre 2022 22h18
  
  Le pauvre petit garc va bien. Rassurez-vous.
  Il n’est pas sous les bombes en Ukraine…
  Il est marié aujourd’hui. Avec un garçon qu’il connait depuis la primaire: runy junior.
  Runy est un garçon très prudent. Lorqu’il était enfant, il ne tombait jamais à la sortie du tobbogan. Certains disent que c’est parce qu’il jouait souvent avec les filles…
  A son contact, le petit garc est lui aussi devenu plus prudent. Il pense que ce n’est que de cette manière que l’on pourra laisser cette planète vivable pour que l’enfant qu’il souhaite adopter un jour avec runy junior puisse vivre sereinement. Ils espèrent que ce sera une fille…
  
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3. PHILGILL
  
  07 septembre 2022 22h46
  
  Oups ! J’ai cru un bref instant qu’il s’agissait d’une vidéo de Boris Johnson encore enfant.
  
  Plus sérieusement, les petites filles seraient-elles parfois plus prudentes que les petits garçons dans leurs jeux, du fait déjà de savoir, sans en être parfaitement conscientes encore, qu’elles pourraient être enceintes et devenir mères un jour ?
  De là, se pourrait-il que les filles soient plus prédisposées que les garçons à se confronter à certaines difficultés ou futurs problèmes, en développant ou mettant en pratique, avec plus de prudence et d’endurance des exercices… d’atterrissage ?
  
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  1. PHILGILL
    
    08 septembre 2022 12h29
    
    Oh, je m’aperçois « après-coup », que Hervey avait déduit à peu près le même phénomène d’anticipation ou non anticipation dans la pratique courante du jeu chez les enfants. À ceci près que, rien dans le comportement humain ne me semble « convenu » tant que tout ne l’est pas ; sachant par ailleurs que tel ou tel effet peut être relié à plusieurs causes.
    Ainsi, on peut noter, ici, que cette chute d’enfant, dans la vidéo, nous rappelle la malheureuse glissade de Paul Jorion, dans son jardin, survenue il y a quelques mois…
    Voilà une chose qui me passionne : les rapprochements (semi-conscients ?), avec un caractère d’enchaînement que nous pouvons constater de plus en plus souvent dans son blog…
    Enfin, si nous revenons aux raisons pour lesquelles les filles seraient plus fortes en français, et les garçons plus forts en maths… dès le CP (cf. Blog de PJ, au 1 septembre 2022) — en retenant, par ailleurs, l’hypothèse où, selon Poincaré, « un problème bien énoncé est un problème à moitié résolu », et que, d’après Alain, « la solution n’est donc autre chose que le problème bien éclairé » — que ce soit donc pour un problème de société, économique ou scientifique, avant de commencer à planifier, peser ou calculer, la priorité serait donc celle de savoir bien rédiger l’énoncé, afin de bien comprendre ce que l’on cherche d’abord et avant tout à résoudre.
    Voilà pourquoi, je crois, que ce que Paul Jorion souhaite nous faire partager, c’est que, sans une solidarité forte et écoute sérieuse entre les femmes et les hommes, on ne trouvera pas la clé de nos problèmes.
    
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