Le 22 octobre dernier débutait un séminaire que j’avais appelé – suivant en cela la suggestion d’un analysant – « Pour une lecture non-« biblique » de Freud, Lacan, &c. »
Quatre réunions se sont déjà tenues. La première séance fut consacrée aux réponses que Lacan avait offertes à des questions qui lui étaient posées à Louvain le 14 octobre 1972. La deuxième séance fut consacrée au chapitre 2 de la Psychopathologie de la vie quotidienne (1901) de Freud intitulé « Oubli de mots appartenant à des langues étrangères ». La troisième séance fut consacrée à un petit texte de Freud intitulé : « Doit-on enseigner la psychanalyse à l’Université ? » (1919). Durant la quatrième séance, je commentai le compte-rendu que fit de son analyse, l’un de mes analysants.
Je consacrerai, à partir du lundi 26 septembre à 20h, une suite de soirées à une réflexion relative au transfert et au contre-transfert. Il y sera question en particulier du séminaire 1960-1961 de Jacques Lacan intitulé « Le transfert » (publié au Seuil en 1991), mais la soirée du 26 septembre nous verra discuter de l’article de Freud publié en 1915 intitulé « Remarques sur l’amour de transfert ». On trouve cet article dans Sigmund Freud, L’amour de transfert (Payot 2017), aux pages 145 à 166.
Si cela vous intéresse de participer à ces soirées sur Zoom (et que vous ne m’avez pas déjà contacté), écrivez-moi ici, je vous tiendrai informé de la suite.
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