Jean-Louis Trintignant (1930-2022)

17 juin 2022 21h26

10 réponses à “Jean-Louis Trintignant (1930-2022)”

François Corre

18 juin 2022 0h36

Jean-Louis Trintignant : Je voudrais pas crever (Boris Vian)

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1. Paul Jorion
  
  18 juin 2022 11h03
  
  … la lune immense me fixait d’un tel air de fausse thune…
  
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Khanard

18 juin 2022 9h08

Quel gâchis . Cette vie brisée par deux drames , comment résister à ce flot de douleur ? J’espère que papa Jean-Louis retrouvera ses deux enfants Pauline et Marie et vivre son amour .

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Marc Vincent

18 juin 2022 9h47

Mais dites-moi à propos de personne disparue, qu’est donc devenue la sémillante Stéphanie qu’on a plus revue depuis le mois de mars. Elle apportait un peu de jeunesse et de fraîcheur sur ce blog vieillissant qui consacre de plus en plus d’espace à la rubrique nécrologique. Sans elle, on a comme l’impression qu’il s’agit du cercle des prophètes en voie de disparition… C’est dommage.

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1. Paul Jorion
  
  18 juin 2022 11h19
  
  Stéphanie est toujours là, elle dit qu’ « elle n’a plus le temps » : la rançon du succès (eh oui !) ! Mais je lui en parle jeudi, mieux encore : je vais essayer de la convaincre d’ici-là qu’on fasse une vidéo jeudi.
  
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  1. Marc Vincent
    
    18 juin 2022 15h58
    
    Merci.
    Voilà enfin une bonne nouvelle. Comme quoi, tout arrive et qu’il ne faut désespérer de rien tant qu’il y a de la vie.
    
    PS. Murmurez donc à l’oreille de Stéphanie que l’essentiel dans l’existence c’est le temps et quand on ne l’a plus, c’est un peu la vie qu’on perd. Le succès est une chimère au regard du temps qui reste.
    
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    1. Paul Jorion
      
      18 juin 2022 16h52
      
      Non, non : dans un cas comme celui de Stéphanie, ce sont des vies sauvées (je ne plaisante pas), des personnes remises sur les rails une fois pour toutes. Ce n’est pas de l’agitation vaine.
      
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torpedo

18 juin 2022 10h14

Tous Humains, un jour prochain…
Ou pourquoi sagesse et fatalisme nous viennent-ils toujours si tard.
A la mort qui approche, plus de doigt d’honneur?
Attendrons nous donc toujours,
Tremblants, à chacun notre tour,
La tardive, mais implacable sentence,
De cet intime tribunal qui chuchotait jadis,
A notre oreille, l’enjeu de sa peine capitale…
Partir sans amour.
Eric.

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Didier Rombosch

18 juin 2022 10h19

Ce phrasé et ce timbre reconnaissables entre mille.
Et sa voix si singulière qui dans ce film incarne un vengeur muet nommé Silence.

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Hervey

18 juin 2022 10h30

https://www.youtube.com/watch?v=xLzV0rzhxo0

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