Pas de spoiler. Si vous vous demandez à chaque nouveau film de Woody Allen – comme c’est mon cas – s’il n’a pas commis cette fois son « film trop loin », soyez rassuré : Rifkin’s Festival (tourné en 2019) est une excellente cuvée. L’histoire se tient du début à la fin et les bons mots s’y intègrent harmonieusement sans tomber jamais comme cheveu sur la soupe. Et comme dans les meilleurs Woody Allen, de splendides hommages au reste de l’histoire du cinéma, ainsi que la solution – glissée en passant – de quelques problèmes métaphysiques millénaires.
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…
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