Mes 15 films préférés de Clint Eastwood (de 15 à 11)

Avertissement : Pour répondre par anticipation à certaines objections envisageables, je précise que cette liste a été établie selon les critères les plus récents de la méthode scientifique (dite "expérimentale"). Tout commentaire suggérant qu'il existe un élément de subjectivité dans ma liste sera considéré nul et non avenu.

#15 – Kelly’s Heroes (1970)

#14 – Every Which Way but Loose (1978)

#13 – Joe Kidd (1972)

#12 – Play Misty for Me (1971)

#11 – Et pour quelques dollars de plus (1965)

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7 réponses à “Mes 15 films préférés de Clint Eastwood (de 15 à 11)”

  1. Avatar de arkao

    Clint Eastwood par le groupe Gorillaz:

  2. Avatar de Inox
    Inox

    Correction:
    « MES 15 FILMS PRÉFÉRÉS AVEC CLINT EASTWOOD (DE 15 À 11) »

  3. Avatar de PHILGILL
    PHILGILL

    En rapprochant dans ma tête la filmographie de Clint Eastwood et comment dire, les expériences de Paul Jorion, j’ai soudainement pensé à cette phrase de Jacques Higelin : « Ceux qui ont peur de mourir ont peur de vivre. » Et, du coup, j’ai pensé à un autre Jacques…

  4. Avatar de Vincent Teixeira
    Vincent Teixeira

    peut-être sera-t-il dans la liste (?)…
    mais selon moi, son meilleur film (comme acteur) est « LES PROIES » (en fr. / « The Beguiled », 1971) de Don Siegel…
    un chef-d’oeuvre relativement méconnu… (Après l’avoir vu, on a une tout autre approche des plats de champignons…)

    1. Avatar de Paul Jorion

      Non, « The Beguiled » n’est pas dans la liste des 15. Je ne partage pas votre avis : j’ai eu beaucoup de mal à rester accroché, les personnages étant tous antipathiques. Aucun dont les motivations ne sont pas médiocres : un trop triste tableau de la nature humaine.

  5. Avatar de Vincent Teixeira
    Vincent Teixeira

    Ah certes, les personnages sont antipathiques, puisque la quintessence du film est celle de la manipulation – dont participent quasiment tous les personnages, baignant dans un style visuel étouffant ; mais il y a dans ce film, très dérangeant en effet, voire malsain, une complexité psychologique, et un suspense saisissants. Et cinématographiquement, il y a un traitement de la lumière, ou plutôt des ombres, des clairs-obscurs, qui marquera fortement le style d’Eastwood lui-même dans ses propres réalisations, où la palette ténébreuse des images (en plus du goût des situations provocantes) est presque une constante, comme si les mouvements de caméra arrachait l’image aux ténèbres.

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