Mes dix films préférés de Jack Nicholson (de 5 à 1)

#5 – Five Easy pieces – Bob Rafelson 1970

#4 – Profession reporter – Michelangelo Antonioni 1975

#3 – Les sorcières d’Eastwick – George Miller 1987

#2 – About Schmidt – Alexander Payne 2002

#1 – The Pledge – Sean Penn 2001

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7 réponses à “Mes dix films préférés de Jack Nicholson (de 5 à 1)”

  1. Avatar de PHILGILL
    PHILGILL

    Bravo ! Quel finish !

    1. Avatar de PHILGILL
      PHILGILL

      Tout d’un coup, j’ai repensé ce matin à un documentaire sur l’écrivain Stephen King « Le mal nécessaire ». Evidemment, cette liste de films de l’acteur Jack Nicholson y est pour quelque chose. Aussi, il est dit à un moment du documentaire, en voix off : « Seul un esprit éveillé peut repousser les monstres. » De plus, le choix final du film « The Pledge » nous amène, je crois, à nous interroger sur le sens du mal, ou plutôt, sur le rôle de l’ennemi pour une grande puissance, et notamment pour une super-puissance comme les USA. Que deviendraient les USA en cas d’absence d’ennemi ? Ou quand l’indétermination de l’ennemi rejoint celle de l’indétermination du monstre… ou du mal nécessaire ?
      https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01232562/document

  2. Avatar de Vincent Teixeira
    Vincent Teixeira

    Assurément un très grand acteur !
    J’aurais ajouté « THE MISSOURI BREAKS » (1976) d’Arthur Penn, pour la confrontation Brando-Nicholson.
    https://www.youtube.com/watch?v=N48pqpyyeHA

    1. Avatar de l'arsène
      l’arsène

      @ Vincent Teixera
      Oui,  » The Missouri breaks » vaudrait aussi le détour parmi tous ceux cités et le rôle qu’interprète Brando est complétement délirant, un tueur à gages qui se déguise en grand mère, ce n’est pas courant dans un western !

      1. Avatar de Vincent Teixeira
        Vincent Teixeira

        oui, le personnage de Brando dans ce film est vraiment délirant !
        un western sombre, crépusculaire…

  3. Avatar de Karluss
    Karluss

    j’ai découvert « about Schmidt » hier, je connaissais pas… un film touchant et honnête. Un Jack ne donnant pas dans le caustique, mais complètement dans son personnage… authenticité ?

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  1. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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