France – Ukraine – États-Unis & … science-fiction
« en urgence en Ukraine » ??? Cuba, l’urgence = quelques mois ; Ukraine, l’urgence c’est 2014, 2022 … ainsi que, sachant…
*Godot est mort !*
@Paul Jorion Un moment vous mentionnez twitter. J’avais arrêté d’y aller fouiner depuis plusieurs années, je trouvais qu’il y avait trop de restrictions de tous côtés. Suite au rachat par Elon Musk j’y suis retourné par curiosité. Presque choquant. J’ai l’impression d’un retour en arrière de 10 ans. Musk s’est exprimé : tout propos non interdit par la loi pourra revenir sur twitter. Je me demande s’il parle uniquement de la loi américaine, dans ce cas c’est la porte réouverte à la foire d’empoigne. Autrement s’ils doivent suivre les lois des différents pays, il va falloir embaucher beaucoup de modérateurs, ou bien développer une IA particulierement sagace.
L’imaginaire est la forme la plus audacieuse de la réponse des homo-sapiens au mystère d’être au monde, me dis-je souvent en relisant les maitres de la SF qu’ils soient Chinois ou Américains. Adrian Tchaikovsky (Anglais) – « Dans la toile du temps » ou Liu Cixin (Chinois) – « La problème à trois corps » – sont des romanciers vivants de grande envergure, il y a beaucoup d’autres grands imaginatifs à lire en attendant les bombes atomiques avec des étoiles dans le coeur. Pour la lucidité voir les ouvrages sur la bandes de gauche… bien amicalement vôtre Jean-Michel P.
Coucou,
C’est joli çà comme aphorisme . çà commence bien la journée.
Bonne jorunée
Stéphane
Merci. :-))
Ah ouais… Vous allez trinquer ?! Dans un bistrot, je suppose… La sociale a la géométrie bien variable face au travail ! 😉
Moi, je vais trinquer à tous ceux qui bossent aujourd’hui !
Courage Camarades !
On peut trinquer chez soi 2Casa, avec un genou en vrac ça me paraît compliqué d’aller au bistrot.
Un demi à la 2 ! Un !
T’es mignon mon CloClo mais tu devrais lever le pied… ça ne te réussit guère, ai-je cru remarquer.
En attendant, j’espère qu’elle est bonne la raison et j’attends juin avec la dernière impatience.
D’ici-là :
C’est vrai, j’avais oublié que j’étais sur un blog de socialistes.
Qu’est-ce qu’il disait Keynes déjà ? Ah ouais, qu’il se rangerait toujours du côté de sa classe à la fin… ça se vérifie jusqu’ici.
On a constaté ce qu’il en était du côté des classes populaires au dernier scrutin.
Et pour finir je te conseille mon CloClo, une petite série : « Severance » (« Dissociation » ?) :
Comme le dit Jorion, c’est dans les films et les séries que l’on trouve les observations les plus justes sur notre société en ce moment, et là, il me semble qu’ils ont mis le doigt sur un truc fondamental.
Cette dissociation qui fait qu’au final, on s’en balek du type qui bosse le dimanche, on s’en balek du mec qui bosse le premier mai, on s’en balek du mec qui bosse la nuit ou au petit matin – il en rêve le boulanger de se lever à 3h du mat pour que tu bouffes du pain frais au petit déj ? – on s’en balek du type obligé de bosser à 300km de chez lui pour revenir ensuite pourrir en masse la Province parce que c’est l’optimum de la rationalisation… le tout pourvu qu’on puisse continuer à se torcher en terrasse en mode bourgeois wannabe pendant qu’on se fout de la gueule des mecs qui bossent sans avoir le choix, jamais, sur rien.
Et on se marre, c’est drôle hein, coco ?! Jusqu’au jour où tout le monde s’en branle de ce qui nous arrive… (Air connu, ouais y’a pas qu’Attali qui recycle)
Tu sais mon CloClo, je commence vraiment à comprendre la joie mauvaise de ceux dont le dernier choix est de vous balancer le premier Trump qui passe à la tronche… Pense à ces femmes devant l’écran qui insultent Macron le soir de l’élection. Vois la rage qui est la leur et mesure-la bien, tu la prendras dans la face en même temps que ta bière un jour mon gars !
Euh, « to sever », c’est l’étymologie de sevrer .
L’acception anglaise semble être la rupture de contrat
(et l’indemnité qui peut aller avec, ou l’accord « severance agreement »).
C’est du vocabulaire qui nous cause peu, tout comme « redundancies » pour les licenciements.
!
A l’occasion du décès de Michel Vinaver, certains disaient sur les radios qu’il avait fait connaitre divers aspects du monde du travail avec une certaine prescience.
( il fut PDG de Gillette France , si j’ai bien lu! Ne pas faire du théâtre rasoir était donc devenu un impératif catégorique !)
Salut timiota,
Oui j’ai vu, j’ai trouvé une acception de « dissociation » et cela a l’air d’être le choix de traduction dans les divers commentaires que j’ai pu parcourir sur la série. La VF le reprend.
Bonne journée !
@Timiota C’est du Séparatisme Social !
Sevrer est un doublon de séparer !
Sevrer, dans l’ancienne langue, signifie uniquement séparer ; il est, en effet, la transformation légitime du latin separare. Quand on voulait dire cesser d’allaiter, on disait sevrer de la mamelle, sevrer du lait, c’est-à-dire séparer.
https://www.lexilogos.com/document/littre.php?q=Sevrer
À la réflexion, on pourrait mixer le Karen’s Diner et le théâtre version happening jeu de rôle (les clients ne le savent pas) ainsi les bourgeois pourraient venir se faire incendier… et trouver ça super hype.
(Si tu veux te reconvertir CloClo, j’ai décelé chez toi un vrai potentiel !)
Je me suis souvent demandé jusqu’à quel point l’ouvrage d’AVV ‘Slan’ avait influencé PKD dans la rédaction de son recueil de nouvelles M.Report notamment, mais n’ayant pas creusé plus loin, je préférai me laisser happer par les élans mystiques de Dick et de son opus trilogique divin, des rapprochements à opérer avec son chef d’oeuvre absolu à mes yeux, Ubik. Ah oui, ‘L’Empire n’a jamais eu lieu’, répétait à outrance Joe Miller. Je n’ai depuis, « toujours-déjà » pas entamé son exclusion (excusez la tournure heideggérienne) 😉
Sacré théorie de la « relativité générale » de nôtre pauvre appréhension des échelles incommensurables de l’espace et et de celles astronomique du temps (appréhension fictionnelle ou réelle…? Issue des théories complotistes, conspirationnistes – mises en scènes dans un universel en 4 dimensions [du genre la « terre est plate » ?] – dont sont affublés aujourd’hui les résistances des mouvements sociaux, manifestations du 1er Mai, syndicalisé.e.s, suspects d’être illégitimes d’accuser les politiques publiques d’austérité, les « réformes structurelles néolibérales » de tous nos maux… par les plus optimistes » du « nouveau monde » voulant « nous » projeter dans d’autres « dimensions universelles »…? Ou découlant d’un constat du « déclin » « dépressif », « inflationniste », dans les rapports de forces de la lutte des classes/races, défavorables pour les plus démuni.e.s, que cherche à instrumentaliser l’extrême droite et prétendant incarner le néo-mouvement « social »…? ) que les inégalités territoriales, scolaires, de » destins », accroissent, accentuent, creusent, chez les plus pauvres, précarisés avec les « piano mécaniques » (« ubérisation et ordinisation » défiscalisée et désocialisée du travail et savoir faire – des services publics privatisés, digitalisés, dématérialisés, compris – segmentés à la tâche et de l’emploi précarisé quand il ne disparaît pas sans être « REMPLACE », quand il n’est pas tout à fait détruit, sans être « RECRÉE ») comme chez les plus discriminé.e.s de façon « systémique »… de ce que peut être et/ou (« en même temps ») l’espace et le temps pouvant « nous » paraître (nous « incultes », « gens qui ne sont rien », illettré.e.s, alcoolos/drogués présumé coupables) au sens de ce qu’on peut percevoir quoi (quand le droit de savoir de la citoyenneté n’est pas respecté, quand la neutralité et impartialité du respect du pluralisme des idées du quatrième pouvoir journalistique, ne l’est pas plus… qu’est-ce qui reste à percevoir de réel et/ou fictionnel ?) … quand la théorie de la « relativité restreinte », « nous » devient incompréhensible, intangible, « inquantifiable » (aussi abstraite que les théories quantiques) lorsqu’un « réseau social » (et la soit disant « liberté d’expression » qu’il « représente » par rapport aux poids « déclinant » des médias mainstream) devient propriété privée des « rêves de grandeurs », individualiste, mégalomane… de la première fortune mondiale voulant « assister sans contrepartie » ce qu’il se « représente » de de ce que devrait être/paraître l’intelligence humaine, avec une IA dérégulée, dérèglementée, décomplexée, désinhibée, « immoralisée/amoralisée » (comme pour la fiscalité des plus « compétitifs des pays riches)…?
Je n’ai pas bien compris: qui est l’auteur de « la trilogie américaine » qui a donné lieu a deux beaux films?
La tragédie américaine.
Ok. De Théodore Dreiser.
Je connaissais pas. Pourtant il me semble avoir vu le film « une place au soleil »
h
Je ne bois pas souvent, de mon coté le problème ne vient pas du coude, mais de l’épaule, aussi sans lever mon verre, je pense très sincèrement à votre genou. J’espère que tout passe au mieux pour vous.
Merci !
https://www.youtube.com/watch?v=37OEw8Fgjj4
Pour l’Ukraine.
bonjour
P.J. a raison de rappeler toujours les égos gigantesques, même entre parenthèses, de la gauche…
La nuit de Premier au Deux Mai….est-ce encore le Premier Mai..? … tout un symbole : N.U.P.E.S.
https://www.arretsurimages.net/chroniques/le-matinaute/nupes-et-la-gauche-ressuscita
Vous êtes marrants messieurs , ne croyez pas que nous allons pouvoir encore longtemps lire des romans de science fiction allongés dans des canapés en attendant que les minimas sociaux nous tombent tout cuit dans le bec , va falloir se lever à 5 h du matin et aller ramasser les feuilles dans les rues , vous avez voté macron eh bien maintenant faut assumer !
@Pangolain : Précisément et pour souligner votre caricature simplette , sachez qu’ il est tout à fait conciliable de ‘pouvoir encore longtemps lire des romans de science fiction allongés dans des canapés’, se lever à 5h du matin et ramasser des feuilles (dans les jardins, pas les rues me concernant). La plume et le béton sont côte à côte, non face à face d’un miroir sans teint. Les minimas sociaux s’écrivent oui c’est vrai, mais c’est aussi à force de pillonage que nous y arriverons.
Je me demandais qu’est-ce que certains peuvent raisonnablement estimer de la spirale inflationniste en cours sur sa durée. J’entends certains dans plusieurs pays parler d’augmentation des taux directeur des banques centrales mais j’ai toujours eu l’impression et je ne suis en aucun cas un spécialiste qu’augmenter les taux, cela n’a de vrais effets que si l’origine de l’inflation est interne à un pays mais si une grande part de l’inflation est lié à une situation externe comme une guerre ou une nécessaire augmentation des prix sur des produits d’origine fossile face au réchauffement climatique ou simplement de la spéculation pure, est-ce que l’espoir des banques centrales de freiner la spirale inflationniste n’est pas vain ? Si l’inflation ne fait qu’augmenter indéfiniment dans les prochaines années sans correction des salaires, cela risque vraiment de mettre une majorité de la population à la rue ou en situation extrêmement précaire même dans la classe moyenne et comme d’habitude taxer les plus grandes fortunes est considéré comme un tabou alors que ce sont eux qui polluent le plus et qui profitent le plus des crises, on se demande vraiment si l’effondrement n’est pas pour dans très bientôt.
Ma réponse à votre question se trouve dans mon billet du 19 avril : De la perte de biodiversité à la rébellion des peuples :
À la pandémie est maintenant venue s’ajouter la guerre, dont les causes mêlent raisons d’ordre idéologique et facteurs économiques. Les disruptions des chaînes d’approvisionnement ont des effets considérables quand il s’agit comme dans le cas de l’Ukraine du pays que l’on appelait le « grenier à blé de l’Europe », mais qui l’est désormais d’une zone plus vaste puisque l’Ukraine alimente en blé pour plus de 30% (jusqu’à 50%) de leur consommation, la Tunisie, la Libye et la Mauritanie. La destruction des récoltes de l’Ukraine constitue le prélude d’émeutes de la faim dans les pays les plus dépendants de sa production céréalière, quand l’augmentation du prix du blé, denrée de première nécessité, y aura atteint un niveau intolérable pour la population locale.
La hausse du prix des marchandises et des produits victimes de difficultés d’approvisionnement, voire de ruptures de stock, alimente l’inflation dans les pays où elle se manifeste. Dans une politique antisociale scandaleuse mais considérée aujourd’hui comme allant de soi, les banques interviennent alors en compensant l’érosion du capital due à l’inflation en noyant son taux dans une hausse des taux d’intérêt plus élevée. Or une hausse brutale des taux entraîne automatiquement un krach obligataire : une dépression brutale du prix des obligations en circulation, selon un mécanisme qui mérite d’être rappelé.
Les obligations sont les emprunts que les États contractent auprès des particuliers et du « marché des capitaux », c’est-à-dire auprès des institutions financières. Or, pour refléter le climat de hausse des taux dans ses nouvelles émissions obligataires, l’État doit consentir un coupon plus élevé (le taux rémunérant une obligation d’une certaine maturité) : une rente d’un montant plus élevé accordée aux prêteurs de l’État. Ces obligations nouvellement émises bénéficiant d’un meilleur rendement que celles déjà en circulation (n’ayant pas atteint leur maturité), le prix de celles-ci baissera d’un montant compensant exactement (c’est le mécanisme de l’arbitrage) le fait qu’elles ne donnent lieu qu’à un versement de coupon inférieur à celui qui constitue la nouvelle norme.
Cette hausse du coupon augmente le coût de la charge de la dette pour l’État emprunteur. Or si dans les années récentes les États ont pu faire croître le volume de leur dette nationale à coût réduit en raison de la faiblesse des taux, souvent d’ailleurs négatifs, ils seront désarmés devant une charge de la dette à nouveau onéreuse. La réponse devra alors être une hausse des taxes et des impôts au prorata.
Implication perverse mais bien pratique de l’existence de la zone euro, les dettes nationales des états membres sont absorbées par la Banque Centrale Européenne. Ceci permet à chacune de ces nations de s’endetter toujours davantage pour assurer les frais de fonctionnement d’un État-providence soutenu artificiellement, au lieu d’exiger des plus riches une participation plus équitable de leur part à la gestion de la nation, alors qu’ils représentent une portion obscène de l’empreinte carbone *.
Les disruptions des chaînes d’approvisionnement causent des hausses de prix, facteurs d’inflation. Les banques centrales haussent les taux pour maintenir le rendement du capital dans un contexte d’inflation, précipitant un krach obligataire, tandis que les États émetteurs de dette doivent en hausser le coupon, renchérissant la charge de la dette, forçant à réduire d’autant les prestations de l’État-providence, provoquant ainsi la colère de la population, qui ne tarde pas à se rebeller.
L’enchaînement des faits que je viens de décrire étant hautement plausible, le déroulement en est parfaitement prévisible, et la question qui se pose du coup est « Qui, dans les instances dirigeantes de nos pays, veille-t-il activement à l’heure qu’il est à s’assurer qu’il n’en sera pas ainsi ? »
Désolé pas vu cette réponse. Merci 🙂
@rainbow Si l’inflation est liée à des causes externes, hauuse du prix de l’energie, financement de la guerre, ce n’est pas un problème de gestion de l’équilibre économique, c’est une réallocation des dépenses qu’il faut effectuer et ne pas ajuster ni les salaires ni les revenus !
C’est une baisse du niveau de vie réel qu’il faut constater.
Le reste n’est qu’illusion et la spirale inflationiste ne résoudra rien à part laminer les dettes (ce qui est le but caché et recherché sans doute).
En quoi serait-ce les grandes fortunes qui pollueraient le plus ?
La pollution directe est liée aux flux c’est à dire à la dépense, parfois somptuaire, et la TVA ou des taxes spécifiques sur l’énergie conviendraient (le kérozène international est détaxé).
En quoi le fait de détenir directement ou sous forme d’investissement en bourse des moyens de production pollue-t-il ?
Détenir Twitter ou Amazon pollue-t-il ?
Ne sont-ce pas plutôt les clients qui déterminent l’activité qui polluent ?
En quoi le fait de détenir un patrimoine immobilier pollue-t-il ?
En augmenter la valeur en améliorant son isolation thermique pollue-t-il ?
En quoi détenir des terres agricoles données à fermage ou des forêts pollue-t-il ?
Vouloir préjuger de la pollution pour taxer les riches n’est que sophisme facile, et résulte d’un parti pris idéologique.
Si le patrimoine en question et taxé et donc revendu en partie (à qui ?) ou réparti aux pauvres il subsiste et pollue tout autant !
Je pensais plus aux comportements de cette fraction de la population au quotidien puisque certains avancent que comme ce sont eux qui voyagent le plus souvent, ils polluent le plus. Je ne pensais pas nécessairement aux biens immobiliers et aux actions. J’aimerai retrouver l’étude dans laquelle on parlait qu’on indiquait que la portion des plus riches de la planète polluait le plus proportionnellement que les autres.
@rainbow C’est sûr que si l’on possède un jet privé c’est judicieusement pour s’en servir (contrairement à une Ferrari .) et l’on pollue plus.
Mais ce n’est souvent qu’une faible part de la fortune totale et taxer le carburant et l’aluminium devrait suffire.
@Ruiz : Quel angélisme ! Les actionnaires sont des receleurs des prédateurs pollueurs !
Bien sûr les produits consommés sont à l’origine de pollution. Mais les dirigeants industriels mettent toujours à l’écart les coûts inutiles et la lutte contre la pollution en fait évidemment partie.
J’ai consacré une partie de ma carrière à établir des rapports de force entre le voisinage et l’auteur de la pollution. Parfois en partant d’un point annexe (un bruit strident d’une usine annexe en sidérurgie), nous sommes arrivés à obtenir une analyse des terres de jardins autour d’un immense site consacré à la sidérurgie depuis 150 ans… Mais ce fut au bout de 8 ans de luttes diverses, et de beaucoup de mensonges patronaux. (Et peu avant l’abandon et la délocalisation).
J’y ai connu des patrons humains, j’y ai connu des riverains retors, mais ce fut des minorités. Le système est le plus fort.
« En quoi le fait de détenir directement ou sous forme d’investissement en bourse des moyens de production pollue-t-il ? » En déniant les méfaits du capitalisme. Le capitalisme est ce système qui est enfin parvenu à renverser toutes les limites que les êtres vivants adoptent malgré tout dans leur prédation vitale.
@Chabian Lutter contre la pollution locale, -il ne s’agissait pas de cette néo-pollution globale du CO2 systémique- améliore l’environnement local et se traduit bien évidemment par une délocalisation autrefois en banlieue, en province, mais actuellement au bout du monde (en particulier pour l’industrie chimique ..) et donc une désindustrialisation et l’apauvrissement et perte de puissance inéluctable qui en résulte et que l’on éprouve aujourd’hui.
Tout celà a été théorisé et accueilli avec les applaudissements enthousiastes d’intellectuels et d’économistes à courte vue vantant une société de services.
La même usine au bout du monde pollue tout autant et celà importe peu que le propriétaire en soit un fonds de pension pour les instituteurs états-uniens, une propriété collective des employés ou de détenteurs de PEA, ou celle d’un état ou d’oligarques affilés à un clan ou un parti unique.
La responsabilité de ce procesus de production en revient au consommateur final du produit.
Plus exactement celà n’a d’importance que par les mesures techniques anti-pollution prises par les dirigeants (quels qu’il soient) et n’est lié en aucune mesure à la richesse/valeur estimée des éléments d’actifs (moyens de production) possédés.
Une usine faiblement polluante et de haute technicité peut être valorisée beaucoup plus qu’une usine très polluante.
Les riches poussés par le consensus ambiant peuvent en fait adopter des modes vie moins polluants (véhicules électriques, habitat proche du travail véganisme …) et s’il est plus facile de prendre l’argent là où il est, taxer les riches pour distribuer ce pouvoir d’achat à des « pauvres » dont le mode de vie n’est pas plus vertueux, n’a pas forcément pour résultat de diminuer la pollution (habitat pavillonaire dispersé, passoires thermiques, trajet domicile travail en véhicule diesel (/essence mauvais pour les particules- bon pour le CO2) courses en super marché ..).
Le pape et la guerre en Ukraine
» … Le pape a également eu des mots critiques à l’égard du patriarche Kirill de Moscou, chef de l’Eglise orthodoxe russe et fervent partisan de la guerre :
J’ai parlé à Kirill pendant quarante minutes via Zoom. Les vingt premières minutes, (…) il m’a lu toutes les justifications de la guerre [qu’il avait notées sur un carton]. J’ai écouté et je lui ai dit : « Je ne comprends rien à tout cela. Frère, nous ne sommes pas des clercs d’Etat, nous ne pouvons pas utiliser le langage de la politique, mais celui de Jésus. »
Le souverain pontife a ajouté que le patriarche Kirill « ne pouvait pas devenir l’enfant de chœur de Poutine ».
Est-ce que Poutine a une chance de le convertir à l’orthodoxie ?
« en urgence en Ukraine » ??? Cuba, l’urgence = quelques mois ; Ukraine, l’urgence c’est 2014, 2022 … ainsi que, sachant…
Je le crains aussi, c’est le pendant à l’invasion de Taiwan. Cuba va connaître de nouveau « ses années ’30 » :…
Pensez-vous que ne pas le faire, cela en profitera plus ou plutôt moins à l’Ukraine que de le faire ?…
J’ai lu que son job sera de fermer le ministère de l’éducation ; et de renvoyer ces compétences aux niveaux…
Oui bien sûr, « nous sommes des poussières d’étoiles » disait Hubert Reeves rejoignant les grands principes de la pensée chinoise qui…
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…
» Cette petite église sans ornements est depuis longtemps considérée comme la plus ancienne de la ville suisse de Lucerne.…
Et si on parlait de la part d’identification de Poutine vis à vis de Trump et de Trump vis à…
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@Hervey (« NOUS FAISONS PARTI DU PAYSAGE et nous agissons sur lui pour le modeler ou le déformer ») Je veux croire…
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