Conserver l’espoir dans le genre humain. Malgré tout. Bien sûr certains soirs la tâche est particulièrement ardue.
Je pense, par ordre de compassion décroissant.
Aux victimes.
À leurs proches.
À nous tous, pauvres de nous.
À la honte ce soir de ceux qui dirent un jour un mot aimable sur Vladimir Poutine, parce qu’ils ne savent pas lire dans le cœur des hommes.
À ces barbares dont toute humanité a fui, pour qu’elle revienne.
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