Les ligaments, ce sont ceux qui ont rendu l’âme dans mon genou droit. Le miracle, c’est qu’avec une jambe raide dans une attelle, je ne sois pas déjà tombé une seconde fois en 48 heures.
Bien entendu, des personnes de bonne volonté me dépannent (merci à Vé** et sa fille, à Ad**, So** et St**), mais cela n’élimine encore que la moitié des déplacements que je dois faire… durant le jour. Et un infirmier passe le matin pour voir si je suis toujours là et dans la soirée pour me faire une piqûre.
La Raison veut qu’il y ait une seconde personne dans cette maison durant les 10 jours à 6 semaines durant lesquels je dois rester allongé. La pensée ne m’a pas seulement effleuré à l’instant bien entendu : j’ai passé les journées de jeudi et vendredi à épuiser les services d’aide à la personne à Vannes ou dans les environs. Nada !
D’où l’appel au cerveau collectif : il y a chez moi eau chaude et potable, chauffage, la fibre alimentée à l’électricité, rémunération Césu, chambre d’ami confortable, conversation garantie à l’heure des repas, avec promenades splendides à 100 m de chez moi, voir ci-dessous.
Si vous étiez prête ou prêt à me dépanner ou vouliez des précisions, écrivez-moi ici.
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