Je discutais hier avec quelqu’un de la thèse d’Hervé Le Bras et Emmanuel Todd que « les Français meurent là où ils sont nés ». J’ai voulu vérifier pour les Jorion. Ils sont très représentatifs sur ce plan-là : après s’être déplacés sans doute de 400 à 440, la quasi totalité d’entre eux n’ont plus bougé d’un pouce en 1.600 ans de la minuscule région où les Francs saliens ont ouvert leurs valises crevées de migrants !
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…
Laisser un commentaire