Le fil conducteur d’une œuvre cinématographique

20 janvier 2022 0h45

Comme vous l’avez peut-être noté, je m’astreins depuis un certain temps au merveilleux exercice de regarder à la suite toute l’œuvre d’un grand cinéaste. Cela permet d’en découvrir le fil conducteur.

J’en suis à Nanni Moretti.

Io sono un autarchico : Comment est-on désespéré à 23 ans ?
Ecce bombo : Comment est-on désespéré à 25 ans ?
Sogni d’oro : Comment est-on désespéré à 28 ans ?
Bianca : Comment est-on désespéré à 31 ans ?
La messa è finita : Comment est-on désespéré à 32 ans ?
Palombella Rossa : Comment est-on désespéré à 36 ans ?
&c.

Cinéma

Nanni Moretti

4 réponses à “Le fil conducteur d’une œuvre cinématographique”

PHILGILL

20 janvier 2022 2h24

D’où vient le désespoir ?
36, 32, 31, 28, 25, 23 ans…
Un compte à rebours.
– À quoi ça sert de compter à l’envers ?
– Ça permet d’espérer.
– C’est quoi espérer ?
– C’est me dire que je te verrai grandir.
https://youtu.be/cIL53VWOtqY

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François Corre

20 janvier 2022 15h32

On peut adoucir son désespoir avec quelques ‘dolci’… 🙂
https://www.youtube.com/watch?v=q5zEbOx2Ov4

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timiota

21 janvier 2022 0h34

Oui, on peut dire qu’il avait anticipé à travers une optique italienne nos « déceveurs de gauche » successifs :
Fabius, Jospin, Royal, Hollande, Hamon, Hidalgo.

Le heurt des principes et des réalités.
Quoique dans la liste ci-dessus, l’assujettissement à un le principe n’est pas le point fort, … la val.ls.e des principes un peu plus.

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1. François Corre
  
  21 janvier 2022 13h56
  
  https://www.youtube.com/watch?v=zOVg4qwrugU
  « Nanni Moretti – Aprile – D’Alema di’ qualcosa di Sinistra »
  😉
  
  Répondre

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