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Veille effondrement #120 – Vancouver isolée par les inondations et les glissements de terrain

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26 réponses à “Veille effondrement #120 – Vancouver isolée par les inondations et les glissements de terrain”

  1. Avatar de Ermisse
    Ermisse

    Pas grave, ce n’est pas radioactif.

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    1. Avatar de CloClo
      CloClo

      Si en plus il fallait gérer ça, t’imagine ?

      Parce que tu as bien compris qu’on y va à plein régime sans coup férir et même plus ? C’est ça que tu n’as pas intégré n’est-ce pas ?

      Répondre
      1. Avatar de Ermisse
        Ermisse

        « Ironie

        Nom féminin (latin ironia, du grec eirôneia, action d’interroger) :

        Manière de railler, de se moquer en ne donnant pas aux mots leur valeur réelle ou complète, ou en faisant entendre le contraire de ce que l’on dit ».

        (Dictionnaire Larousse)

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        1. Avatar de CloClo
          CloClo

          J’avais bien compris l’ironie, d’où ma réaction conforme à ma position. Billard à 3 bandes ?

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          1. Avatar de Juannessy
            Juannessy

            Non , ping pong .

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  2. Avatar de Tout me hérisse
    Tout me hérisse

    Vancouver est très souvent citée pour être une ville parmi les plus attractives au niveau mondial pour ses qualités de vie…
    Y a pas de raison que ce soit toujours le Bangladesh, Haïti ou d’autres de même profil qui ‘morflent’…, bravo la Nature, chacun sa part du gâteau amer… 🙂

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    1. Avatar de Bonnemaison
      Bonnemaison

      Vous voulez dire que les loyers vont baisser ?

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  3. Avatar de ilicitano
    ilicitano

    Vancouver est considérée comme la ville, ou l’une des villes , les plus vertes et les plus écolos du Monde.

    https://www.le-voyage-autrement.com/canada/mag/vancouver-ville-la-plus-verte-du-monde

    C’est la nouvelle normalité climatique en Colombie britannique : dôme de chaleur en été , pluies torrentielles
    même dans la ville la plus écolo.

    Le changement sera collectif et planétaire ou ne sera pas .

    Répondre
    1. Avatar de Michel
      Michel

      Tout le monde aux abris?
      Nulle part à l’abri. Nulle part.

      Répondre
      1. Avatar de arkao
        arkao

        Nulle part ?
        Si vous êtes éco-anxieux, je vous conseille l’habitat troglodyte:
        A l’abri des canicules, des inondations et du froid (au cas où le climat nous jouerait un vilain tour)

        Mais dépêchez-vous, y’en aura pas pour tout le monde 🙂
        Par contre, rarement de la place pour un potager. Faudra se contenter de champignons 😉
        Pour les inconditionnels de Paris, il y a les catacombes, à condition que le voisinage des restes osseux de nos ancêtres ne vous pose pas de problèmes.

        Répondre
        1. Avatar de Pascal
          Pascal

          Les catacombes et les bords de Loire ! Vous êtes sûr que ça craint pas au niveau inondations ? 😉

          Répondre
          1. Avatar de arkao
            arkao

            Pas temps que le niveau de la mer et des fleuves ne monte à plus de 50/100 m 😉
            Ces anciennes carrières se situent généralement sur les versants ou les rebords de plateaux (à Paris ce n’est pas flagrant, l’urbanisation masquant les reliefs).
            https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/df/Jms_paris_elevation_hydrography.png/1024px-Jms_paris_elevation_hydrography.png

            Répondre
        2. Avatar de Michel
          Michel

          Merci pour le conseil. Je connais bien le Saumurois, ses troglos, ses champignons, son jus de raisin fermenté, « la douceur angevine ». Pas mal aussi la Loire et ses boires (mieux que les déboires). Même s’il est loin le temps où les détenus de Fontevraud, alors pénitencier, faisaient le barouf parce que ras-le-bol du saumon (de Loire bien sûr) tous les jours. Mais détrompez-vous, le fait qu’il n’y ait d’abri nulle part (sauf sous le tufeau) ne me rend pas anxieux. Ça me rassurerait plutôt. On est décidément dans le même bateau.

          Répondre
      2. Avatar de ilicitano
        ilicitano

        Xi et Jo ont fait un sommet virtuel, par écran interposé, pour apaiser les tensions et définir les conditions de concurrence entre les 2 pays !!!!

        Ca avance…. 🤢

        Répondre
        1. Avatar de Pascal
          Pascal

          Avez vous remarqué que si on les nomme dans l’autre sens sans le « et », ça fait Joxi !
          Pas très rassurant 😂

          Répondre
  4. Avatar de arkao
    arkao

    Quelle idée aussi de construire dans les lits majeurs des fleuves qui se sont formés lors de la dernière débâcle glaciaire (le lit mineur, c’est le petit filet d’eau qui coule aujourd’hui) ?
    Est-ce qu’une société qui n’est plus capable de voir un paysage, ni même de consulter les outils contemporains que sont les cartes géologiques, pédologiques ou altimétriques est en droit de geindre ?
    Dans les vallées inondables de ma région, toutes les maisons de villages antérieures à 1900 sont hors d’eau lors des crues (même celle de 1910), bien avant l’existence des PPRI (https://fr.wikipedia.org/wiki/Plan_de_pr%C3%A9vention_du_risque_inondation).
    Les villes, c’est différent bien sûr. L’attrait économique de la voie fluviale ou du port a toujours primé sur le risque, depuis la plus haute antiquité.

    Répondre
    1. Avatar de Pascal
      Pascal

      Je suis né au confluent de la Seine et du Loing. Les habitations sur les quais y sont à étages. Ainsi autrefois, lors du passage de la crue, soit presque chaque année, tout le monde se réfugiait à l’étage pour quelques jours, le temps d’attendre que l’eau retourne dans son lit. Bien sûr, on ne laissait rien en bas qui puisse être dégradé par l’eau. Aujourd’hui, toutes les maisons ont été rachetées par des citadins qui n’ont pas cette culture de l’eau. Heureusement, de nombreux barrages et réservoirs ont été réalisés pour régler le cours de la Seine. …mais jusqu’à quand ?

      Répondre
    2. Avatar de ilicitano
      ilicitano

      @arkao

      1900 c’était une autre époque !!

      Maintenant ,il y a :
      * Le promoteur foncier ,
      * le promoteur immobilier
      * le P.O.S (Plan d’Occupation des Sols) généralement établi à l’échelle de la commune devenu ensuite
      * le P.L.U (Plan Local d’Urbanisme) en 2000

      Dans un autre temps les oppidums gaulois étaient surtout implantés en hauteur ( inondation et sécurité)

      Répondre
      1. Avatar de arkao
        arkao

        @ilicitano

        Pour moi, c’est comme si c’était hier 😉

        Après le PLU, le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) au niveau de la com de com.

        Il y avait aussi des oppida de fond de vallée (toujours l’attraction de la voie navigable pour les échanges et le commerce, nos « ancêtres » les gaulois étant fort friands de vins italiens, comme les romains avides de bon blés gaulois)
        http://www.oppida.org/page.php?lg=fr&rub=00&id_oppidum=168

        Répondre
      2. Avatar de Juannessy
        Juannessy

        Les règles et règlements ( souvent violés ) n’ont fait que tenter d’éviter le plus aberrant . Le pousse au crime basique c’est :

        1900 : 40 000 000 habitants dont 50 % de ruraux encore paysans et pas de voitures , sans doute autour de 15 000 000 de logements ( pas de recensements fiables )
        2020 : 67 000 000 habitants dont moins de 20% de « ruraux » et plus de paysans ( exode rural) , et 38 000 000 de voitures et 36 000 000 de logements .

        Si vous saviez comme il est difficile d’éviter aux « usagers » de faire des conneries en violant la règle …

        Répondre
        1. Avatar de arkao
          arkao

          @Juannessy
          Je ne vous le fais pas dire.
          J’ai participé à l’élaboration d’un PLU quand j’étais conseillé municipal. C’est dingue le déni de l’évidence (coulées de boue et zones inondables).
          D’ailleurs, nous nous sommes tous fait virer lors des élections suivant l’adoption du PLU (de toute façon invalidé par le SCoT – encore de l’énergie et de l’argent foutus en l’air).

          Répondre
          1. Avatar de Juannessy
            Juannessy

            J’ai au compteur une dizaine de ZEP , une vingtaine de Pos , 2 PLU , 2Scot en tant que « secrétaire » . Et une dizaine d’années , avant et au début de la décentralisation , dans l’instruction ( et délivrance au nom de l’Etat quand ça existait encore soit avant les années 80) des actes d’urbanisme ( PC , CU , lotissements , opérations groupées ) . On a aussi joué le jeu de la mise à disposition gratuites des élus , loyalement , dans les premières années de la décentralisation de l’urbanisme . C’est ce qui m’a fait avancer que la décentralisation ( bienvenue ) de cette partie des compétences a généré 3 instructeurs et leurs bardas et bureau là où on passait avec un seul .

            Autant dire que j’ai vu l’âme humaine dans ses œuvres et la vertu comme la médiocrité se trouver pas toujours là où on l’imaginait . D’où ma tendance à plus me fier à mon jugement sur les hommes ( ou les femmes ) plutôt que sr leurs écuries .

            PS : il n’est pas illogique qu’un PLU se plie à un Scot . Les PLU du territoire d’un Scot doivent être cohérents avec les ambitions du Scot , pas avec celles antérieures de tel ou tel PLU . Ces ambitions du Scot sont l’acte politique majeur initial partagé par les maires des communes du Scot . Votre maire n’a pas fait le poids ou n’avait rien compris .

            Répondre
            1. Avatar de CloClo
              CloClo

              Les Scots, ces anciens fiefs !

              Répondre
  5. Avatar de gaston
    gaston

    Canada brûlé,
    Canada noyé,
    Canada bituminé

    En voyant cette vidéo m’est revenu en mémoire une chanson du groupe québécois Les Cowboys Fringants « Plus Rien » (album La Grand Messe), ça a presque 20 ans : prémonitoire !

    Répondre
    1. Avatar de Juannessy
      Juannessy

      On a échappé au Canada dry .

      Répondre
      1. Avatar de gaston
        gaston

        Nous peut-être, mais là-bas, en Colombie Britannique, ils l’ont eu sec l’été dernier !

        Répondre

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  3. Mes yeux étaient las, bien plus que là, juste après l’apostrophe : la catastrophe.

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