C’est la réflexion de l’un d’entre vous qui m’y fait penser : pourquoi les anti-vaccin (qui a le mérite d’exister) sont-ils en général par ailleurs des partisans enthousiastes du remède-miracle (qui n’existe pas) ? « Il vaut mieux guérir que prévenir », semblent-ils affirmer. Pourquoi ce comportement paradoxal ?
Mise à jour le 4 novembre – l’un de vous m’envoie l’explication :
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