En 2000, j’avais voulu importer 1 Rickshaw à essence du fabriquant indien Bajaj, (appelé tuk tuk dans d’autres régions), la préfecture consultée m’avait, rigolarde, conseillée d’en importer 10 pour les crash test. Il coûtait moins de 1000 €. Ce petit engin 3 roues m’aurait suffi pour me déplacer dans un rayon de 30 km seul ou avec un passager, ou des courses. Dans une publicité indienne d’époque on voyait cet engin faire du ramassage scolaire avec une dizaine de bambins de petite communale ce qui n’était pas dans nos normes occidentales. Ces rickshaws sont devenus électriques mais font toujours défaut dans notre grandes et moyennes villes. C’est-à-dire là où de gros bus à moitié vides circulent en journée, où de gros taxi ou uber chargent majoritairement des solitaires ou des couples, ou des particuliers sont majoritairement seuls au volant. Bien sûr ces nouveaux rickshaws électriques ne disposent ni de chauffage, ni de climatisation, mais protègent de la pluie, et ne dépassent pas 50 km/h ce qui est devenu rare en ville !
Dans de nombreux pays existent des minibus, de 9 à 12 passagers voire plus… qui en compagnie privées ou auto-entrepreneurs sillonnent des parcours urbains singuliers (comme les autobus) mais partent pleins, s’arrêtent ou chargent sur demande pour des prix accessibles au plus grand nombre. Ces mêmes minibus collectifs desservent les campagnes reculées et avec les smarphones sont vite joignables pour un détour. Certains vont devenirs électriques…
Si je n’ai rien contre la gratuité des transports (c’est-à-dire rémunérée par l’impôt quel qu’il soit) ou laisser à l’initiative privée un maillage défaillant, concurrentiel, peu polluant, pratique et efficient, je m’étonne que ces solutions banales dans certains pays européens et partout dans le monde ne soient toujours pas d’actualité en France.
pour l’exemple :
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