Le système capitaliste interdit au secteur de s’adapter
https://www.youtube.com/watch?v=lF3zt_Gj3uk
*Godot est mort !*
L’argent du risque ou le risque de l’argent ?
https://i.pinimg.com/originals/69/10/8a/69108a5fd39357486f2bcb27a2f122ef.jpg
Rassurez-nous.
Ça me rappelle une blague bien connue :
Pourquoi les assureurs aiment ils le ping pong ?
Parce que c’est un sport de racket .
Quand la sacro-sainte loi de la concurence (libre et non faussée parait-il) appliquée aux énergies est en train d’asphyxier toujours un peu plus l’économie réelle.
https://www.youtube.com/watch?v=jLA3DrGM_QQ&t=1072s
Puisque l’État est considéré comme ‘assureur en dernier ressort’, ne serait-il pas légitime dans ce cas à ce qu’il puisse s’emparer des excédents qui auraient dus être comptabilisés pour couvrir les risques ‘exceptionnels’ ?
Ces excédent, donnant lieu habituellement à distribution de dividendes, seraient ainsi logiquement soumis à un impôt spécifique et combattrait par là même cette tendance néfaste à la concentration du capital.
Mais nous sommes en régime capitaliste et toucher au ‘grisbi’ est tabou, tabou… 🙂
Si j’ai bien suivi le cheminement assuré-assureur-réassureur- titrisation – grands prêteurs à sauver – Etat , il me semble que ce que vous proposez revient à dire « étatisation réelle et non pas tacite de l’assurance ».
Cependant , je me demande s’il y a beaucoup d’états qui sont prêts à opérer un préciput » réserve au cas où « , sur son économie réelle, pour se prémunir directement tout seul contre les aléas de la crise climatique . Mais c’est une idée à creuser . Cro-Magnon a bien appris à fumer sa viande de mammouth pour passer l’hiver .
Il conviendrait plutôt de, non pas ‘fumer le mammouth’ mais, ‘dégraisser le mammouth’, image empruntée à Claude Alègre lorsqu’il qualifiait l’Education Nationale comme telle…
Cette mauvaise graisse représentée par les supers plus-values de ces mammouths assurantiels sera sinon orientée à coups sûr vers l’un ou l’autre paradis fiscal, voir en ce moment l’affaire des ‘Pandora papers’…
Cro Magnon ne se contentait pas que de la graisse ,dont je ne suis pas sur qu’on puisse la mettre en stock sans y toucher trop longtemps .
Reste à savoir sous quelle forme stocker la graisse- pognon pour qu’elle soit effectivement utile et utilisée vraiment pour parer aux coups durs .
Si déjà on s’en servait pour financer , dès maintenant et dans la durée, les « adaptations » nécessaires telles qu’évoquées dans la vidéo , ce serait pas bête .
Mais si c’est pour livrer les adaptations au marché , on risque de simplement reporter nos problèmes un peu plus loin .
Contracter une police dans une assurance cotée en bourse, c’est la garantie de se faire arnaquer. Une variante du colibri qui croit protéger la communauté et lui-même et serre de carburant au feu pour lequel il s’était assuré.
@ Paul,
Malgré tout le respect que je vous dois, vous oubliez dans notre contexte français tout de même deux choses spécifiques – pour la première à l’UE et pour la seconde à la France :
1 – La réglementation Solvabilité 2 est en vigueur depuis le 1er janvier 2016 et impose aux assureur et réassureurs opérant sur le marché européen des niveau de fond propres et des ratios de solvabilité qui ont changé la donne vis-à-vis des questions de concurrence et réglementation des tarifs. Aujourd’hui les assureurs français doivent s’assurer (à travers une batterie de stress tests) qu’ils sont en mesure d’absorber un choc (climatique, environnemental, financier, …) sans mettre en péril leur modèle économique (y.c. vis-à-vis des assurés).
2 – Sur le marché français nous trouvons un certain nombre de mutuelles dont la finalité et la logique de gestion n’est pas « in fine » de faire de profits au service de la redistribution de dividende. Et ces mutuelles ont ceci de spécifique que les sociétaires ont leur mot à dire sur les orientations et la pérénité de l’entreprise.
J’ai donc l’impression que ce que vous dites est fort à propos sur le marché nord américain ou anglo-saxon (depuis la sortie de la GB de l’UE) mais pas totalement sur le marché intra UE (et encore plus sur le marché français).
Je ne suis pas un spécialiste des mutuelles, mais je trouve qu’elles constituent un beau cheval de Troie pour
privatiser le remboursement des soins.
Même si le désinteressement des structures, et leur origines sont très sexy.
@ Thomas Jeanson,
D’un point de vue « assuré », cela peut être perçu comme une privatisation du remboursement de frais de santé.
D’un point de vue « assureur », ce n’est ni plus ni moins qu’un transfert de charges (indemnisation, frais de gestion, …) de la Sécurité Sociale – donc de l’État et des partenaires sociaux – vers les assureurs dont les conséquences rejaillissent tôt ou tard sur les assurés (via le montant des primes des complémentaires santé) si les dépenses/contraintes de santé ne cessent d’augmenter.
Or, côté dépenses de santé, le vieillissement de la population et la dégradation de l’état de santé général de la population (explosion de certains facteurs de risques de santé : obésité, cholestérol, diabète, hypertension, …) augmentent la charge transférée aux organismes gestionnaires de complémentaires santé.
Et, côté contraintes de santé, les entrées en vigueur successives de l’ANI, du 100% santé, du tiers-payant « étendu », … changent la donne notamment sur la fréquence de survenance et les délais de remboursement des prestations – générant des problématiques de « cash flows » chez certains organismes de petites et moyennes tailles.
C’est d’ailleurs pourquoi, avec l’entrée en vigueur du régime prudentiel Solvabilité 2 (1er janvier 2016), nous assistons à une accélération de la concentration des mutuelles Santé initiée dès 2006 – c’est moins vrai pour les organismes de prévoyance et les assureurs côtés en bourse qui à la base sont de taille plus conséquente. L’obligation de détenir un certain niveau de fonds propres (SCR, MCR, …) et des ratios de solvabilité conséquents afin de faire face aux différents types de risques auxquels ces organismes sont exposés (risque de défaut ou de contrepartie, risque de marché, risque de liquidité, risque de longévité et d’espérance de vie, risque de souscription, risque opérationnel, …) et, ainsi, protéger les intérêts des assurés ne permettent plus aux petites mutuelles de suivre leur chemin seules dans leur coin : soit elles se créent des alliances entre petites mutuelles pour grossir suffisamment (avec plus ou moins de succès) soit elles acceptent de rejoindre une mutuelle plus grosse (affiliation à une SGAM existante voire fusion/absorption pure et simple).
La conséquence de tout ça, c’est une réduction par 2,5 du nombre de mutuelles santé en France depuis 2006 – soit le début des premiers transferts de charges de la Sécurité Sociale vers les organismes de complémentaire santé sous l’impulsion des lois de financement de la Sécurité Sociale de l’époque et de la réforme du financement des hôpitaux avec l’introduction de la tarification à l’acte (T2A) qui bouleversera non seulement le fonctionnement financier des hôpitaux (entrée en vigueur de l’austérité) mais aussi la facture des patients… Au passage, merci qui : Nicolas Sarkozy, Xavier Bertrand et Jean Castex qui ont été à l’œuvre de tout ça !
Il existe un rapport 2020 de la DRESS qui décrit et explique largement le panorama des complémentaires santé et de l’évolution de ce marché :
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/sites/default/files/2020-12/rapport-oc-2020.pdf
Bien entendu, ce sont les assurés qui en paient le prix fort : qui dit moins d’offres dit aussi des prix à la hausse… Et comme en parallèle, l’État a continué à jouer sur la CSG, le citoyen le paie deux fois depuis 15 ans.
Ceci étant dit, les mutuelles de santé – sous l’impulsion de leurs sociétaires – essaient tant bien que mal d’amortir le choc en limitant le report sur les primes. En 2021, beaucoup ont gelé leurs tarifs (malgré la crise du covid et des résultats techniques déficitaires) et en 2022 beaucoup continueront à gelé leurs tarifs (vues les annonces déjà faites par les plus grands groupes mutualistes) alors que le contexte et la tendance laissent entendre de nouveaux déficits au niveau des résultats techniques.
C’est un peu notre chance en France d’avoir ce modèle économique « mutualiste » au niveau d’une grande partie des assureurs. Sinon, pour l’assuré, le marché de l’assurance en France serait encore plus une jungle qu’il ne l’est aujourd’hui !… Car mutuelle ou pas, un organisme d’assurance ne sera jamais entreprise philanthropique.
Depuis la prise en charge à 100 % des soins : les aides auditives (audioprothèses), l’optique (lunettes de vue), le dentaire (prothèses dentaires), l’on assiste à la constitution de très nombreux centres dentaires, optiques et audio, la raison, me semble t-il en est simple : auparavant les gens devant se faire équiper, déclinaient très souvent en raison de la dépense restant à leur charge, alors qu’aujourd’hui, ils n’hésitent plus à sauter le pas puisque le remboursement est très correct ; cela n’a pas échappé aux divers investisseurs avides de capter ce surcroît de demande et donc de bénéfices potentiels…
Au passage, il n’est pas inutile de rappeler ici le rôle néfaste qu’a joué l’U.E. depuis les années 1970, au travers de ses directives visant spécifiquement à ‘tuer’ le secteur très particulier des mutuelles en France, car leurs statuts ne permettaient pas de réaliser des bénéfices ce qui, on le comprendra, est une ‘horreur absolue’ pour un système capitaliste…
Sur les dents :
Sur les mutuelles ,bien que mutualiste , je ne possède pas assez le sujet pour situer tous les tenants et errements actuels de la mutualité par rapport au privé , pour avoir un avis pertinent hors la simple lecture bestiale d’articles du web .
J’ai trouvé ça qui donne un panorama du marché de l’assurance , mais je ne sais pas le juger sans trois mois de boulot :
https://fr.statista.com/themes/2823/les-assurances-en-france/
@ Juannessy,
Une équivalent sur le panorama de l’assurance français fourni dans l’Argus de l’Assurance (sous la plume du Cabinet Mazar) :
https://www.argusdelassurance.com/les-assureurs/classement-comptes-des-assureurs-2020-la-vitalite-avant-la-crise.175239
Ce que l’on voit, c’est que les banque-assureurs tiennent le haut du pavé en volume de contrats et de cotisations devant les mutualistes. Mais ces derniers ont globalement une gouvernance plus saine de leur ratio Sinistres/Cotisations. Donc en terme de ratios de Solvabilité, les banque-assureurs ne sont pas nécessairement mieux lotis que les mutualistes.
Je dirai même qu’ils ont une plus forte dépendance (appétance serait le terme plus exact) au marché de la réassurance ce qui, en cas de crise du système de réassurance, les exposent bien plus à des déconvenues.
Les prothèses sont bien remboursées, mais dès qu’il faut des travaux à base de céramique (pas un luxe, irremplaçable pour certains soins dentaires), à moins d’avoir une très bonne mutuelle, le reste à charge peut encore TRES onéreux.
La médecine à deux vitesses, c’est pas fini, loin s’en faut.
@ PYD
100 % Santé dentaire : des couronnes, bridges et dentiers entièrement remboursés
avec prix plafond ( pratiqué par les dentistes conventionnés 1)
Des prothèses dentaires de qualité, 100 % remboursées
L’offre 100 % Santé dentaire donne accès à un large choix de couronnes, de bridges, et de dentiers de qualité, entièrement remboursés.
Dans le détail, l’offre 100 % Santé dentaire s’applique depuis le 1er janvier 2020 :
* pour les dents visibles (incisives, canines et premières prémolaires) : aux couronnes céramométalliques et céramiques monolithiques hors zircone ;
* pour les dents visibles (incisives, canines, premières et deuxièmes prémolaires) : aux couronnes en zircone ;
* pour toutes les dents : aux couronnes métalliques ;
* pour les incisives : aux bridges céramométalliques.
Depuis le 1er janvier 2021, l’offre 100 % santé dentaire intègre les dentiers partiels ou complets en résine, la réparation et au changement d’éléments de ces dentiers (pour tout ou partie des dents).
Par contre il faut une mutuelle ( qui est obligatoire pour les salariés)
Non, Illicitano,
Je faisais référence aux Inlay-onlay Céramique, référence HBMD460, qui de plus en plus remplacent les plombages ( jugés désormais dommageables pour la santé, à cause de leur teneur en mercure)
C’est mon expérience, et ce sont aussi les retours que j’ai autour de moi, en faisant une brève recherche sur internet idem : reste à charge souvent très importants. (J’ai un exemple : 600 euros de reste à charge pour deux dents)
Bien entendu, avec mutuelle.
@PYD
OK
J’ai eu des inlay core métallique HBLD090
Pose du bridge HBDL033 vendredi
Ca vaut quoi ?
Reste à charge 0
Vous m’en demandez trop, je ne suis pas dentiste.
J’ai eu l’avis de deux dentistes différents, qui m’ont convaincu que le soin préconisé par mon dentiste n’est pas un luxe, mais adapté à ma situation.
IL y avait une alternative, mais moins solide, m’a-t-on dit dans les deux cas.
Bref, il semblerait tout de même qu’il y ait des soins auxquels une partie de la population ne peut avoir accès. C’est tout ce que je voulais dire.
Pour info
L’offre 100% Santé est accessible à tous les Français bénéficiant d’une complémentaire santé (soit actuellement 95% des contrats vendus sur le marché) ou de la CMU-c (y compris pour les personnes aujourd’hui éligibles à l’ACS qui bénéficieront à compter du 1er novembre 2019 de l’accès à la CMU-c).
Tous les équipements qui composent le panier 100% Santé seront pris en charge intégralement par la Sécurité sociale et les complémentaires santé.
Les assurés qui choisiront les soins du panier 100% Santé n’auront donc plus de frais à leur charge.
Et ceux qui le souhaitent, pourront choisir d’autres équipements en dehors de l’offre 100% Santé.
OK
Je lis en petits caractères sur mon devis :
« en cas de reste à charge éventuel, une information sur les alternatives thérapeutiques 100% santé ou, à défaut, à entente directe modérée est donnée par le praticien. Sur demande du patient, elle peut donner lieu à une nouvelle proposition de plan de traitement complet, dans un devis distinct »
Je vais en discuter avec mon dentiste la prochaine fois que je le verrai.
Reste que :
En théorie tout est remboursé, mais dans la pratique le système comporte encore des ‘trous dans la raquette’, dans la mesure où il laisse une certaine latitude au praticien pour ne pas proposer d’emblée le 100% santé, et si celui-ci n’entre pas dans la momenclature, laisse la possibilité au patient de ‘négocier’ le tarif du devis.
Pourquoi ne pas créer d’emblée une mutuelle unique pour tous les français où chaque patient serait traité en toute transparence, plutôt de maintenir en place ce maquis de mutuelles, et ces tarifs négociables ?
L’UE joue un rôle néfaste… mais le danger pour les mutuelles vient aussi de nos gouvernements français. Depuis près de 15 ans, notre classe politique française fait tout pour accélérer la mise à mal du modèle mutualiste.
Encore récemment, un projet de décret – mis sur la table par Emmanuel Macron et Jean Castex (avec l’insistance de l’autorité de contrôle prudentiel – ACPR) – vise à réformer la gouvernance des mutuelles relevant du code de la mutualité. Si ce décret passe, clairement les sociétaires perdront de leur pouvoir d’influence sur le bon fonctionnement des mutuelles.
Quant à la gabegie de certaines professions (pour certaines dites « libérales ») sur le dos de la Sécurité Sociales et des complémentaires santé, c’est une honte. Nous sommes passés d’une logique de « couverture sociale » des citoyens à une logique de « couverture d’activité » d’entreprises paramédicales.
J’avoue que je ne l’ai pas vue venir, la toute dernière pique à propos de la Chine,
et j’en suis d’autant plus surpris qu’aucun commentateur n’a abordé le sujet.
Mais j’ai adoré. Merci !
Serait-ce que personne sur ce blog ne soutient Paul Jorion à propos de sa position sur la Chine ?
😀 – 😀 – 😀
L’excédent de la balance commerciale chinoise est de l’ordre de 10 fois ….le déficit commercial français . Ça aide quand on décide de se servir de son matelas pour financer des actions authentiquement sociales sinon socialistes .
Le sujet est donc bien , qui capte et stocke le pognon . La panoplie en régime capitaliste doit aller du grand capitaliste riche à milliards , jusqu’aux contribuables les plus aisés qui ont quand même réussi à « sur-épargner » 150 milliards d’euros sur cet épisode frugal de la pandémie .
Le sujet suivant ( ou précédent ) étant : quel mode de gouvernance est habilité à investir avec le fric et sur quel créneau .
Le » matelas » annuel ( si on le réduit à l’excédent commercial ) de la Chine ; près de 600 milliards de dollars .
Le plan révolutionnaire de Macron horizon 2030 : 5 milliards d’euros par an ……
Pas l’impression que le programme naissant de la coalition allemande soit très socialiste ou social , mais ils ont encore un excèdent commercial conséquent ( 183 milliards d’euros )
PS : France . PIB 2300 milliards d’euros environ . Déficit balance commerciale : 65 milliards d’euros environ .Dette : 2800 milliards d’euros environ .
Chine : dette : 40 000 milliards de dollars . Détient aussi près des 2/3 de la dette des pays (pauvres) du G 20 , soit près de 500 milliards de dollars .
Ah oui, j’oubliais, n’aurait-il pas été intéressant de préciser aussi que les réassureurs se réassurent entre eux, systématisant ainsi le risque au niveau mondial ? Ou cela n’a-t-il qu’une incidence marginale dans la problématique exposée ?
Pour l’instant, « ils » réforment (encore) l’assurance chômage en espérant peut-être un impact sur le changement climatique… 😧
https://www.youtube.com/watch?v=lF3zt_Gj3uk
« Ce truc est stupide, » disent-ils en riant, Un jouet de circuits, sans âme ni talent. Mais leurs mots glissent, comme…
Quel foutoir ! Et il y en a des qui vont vous dire que quelqu’un a programmé ça 😀 !
« Qui peut le plus peut le moins » avait dit jadis Aristote. En appliquant ce principe il est normal que certains…
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