Je parlais de lui dans trois de mes textes anthropologiques des années 1980, republiés récemment ici-même. Je le mentionnais aussi dans mon feuilleton autobiographique, expliquant qu’il aurait voulu m’offrir un poste auprès de lui à Chicago en 1984. Je n’ai pas encore dit que c’est la rapidité dans l’attribution de deux bourses qui fit qu’en 1974 je m’étais rendu auprès de Leach à Cambridge, plutôt qu’auprès de lui. Mais Marshall Sahlins mérite bien davantage qu’une petite note comme cela, à la va-vite (vous connaissez ma piété envers mes maîtres – et ceux qui, comme lui, avaient accepté de l’être). Je m’y attelle.
Je sais bien. Mais on ne plantera pas tous nos patates, tu le sais. Et tant mieux.
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