Donald Trump : Du K.O. au chaos ?, par Chantal Montellier

12 octobre 2020 15h24

Chantal Montellier, Donald Trump, élection présidentielle US 2020, Joe Biden

19 réponses à “Donald Trump : Du K.O. au chaos ?, par Chantal Montellier”

Bernard

12 octobre 2020 16h12

Si Biden gagne , on aura peut être droit du chaos au cachot ..
PS : il n’y a pas que les dessins qui inspirent . Les livres aussi parfois :c(voir à la 18 mn 03) ( vidéo Ruffin)

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1. Lucas
  
  12 octobre 2020 17h49
  
  Aïe
  
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  1. Lucas
    
    12 octobre 2020 21h38
    
    Chantal y est ?
    
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Philippe Soubeyrand

12 octobre 2020 16h14

Le prochain collector MARVEL !!!
J’en veux une dédicacée !!! !!! !!! 😉

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Juillot Pierre

12 octobre 2020 17h36

Est-ce dans « l’esprit » « Je suis Charlie » d’imaginer la transposition de ce dessin… à ce que le coté spectaculaire de l’affrontement « du Ko au chaos » au pays du patriarcat monétaire… à la sauce Trump… par rapport au duel mortifère Macron vs Le Pen… gravitant dans l’obscurantisme de l’horizon du paternalisme occidental d’un pareil patriarcat (colonialisme esclavagisme, refus de « repentir » et d’assumer toute part de responsabilité dans le « commerce triangulaire » d’esclaves », les « externalités négatives » polluantes, aggravant le dérèglement climatique, la perte de la biodiversité…)…. l’image finit par nous montrer, dans le contexte « pré-électoral » français, l’injonction contradictoire du « monopôle de la légitime violence de l’Etat » (votant à 50% pour l’extrême droite) exigeant que lui soit reconnu le droit à la « légitime défense », de porter des armes… face au « refus d’obtempérer » de ceux et celles que ces 50% injurient copieusement avec une connotation raciste, fascisante, xénophobe, les accusant d’outrances, d’outrages…?

Et la légende dirait…:

« »Obtempérer » ou outrager…?

Ou commence l’outrage, l’outrance, faite à l’autorité des « forces de l’ordre », à la « monarchie républicaine » et sa cour…. et ou doit s’arrêter la « légitimité du monopole de la violence de l’État », de la « loi et l’ordre » (selon l’idéologie Trumpiste) dans le cas du « refus d’obtempérer »… lorsqu’une partie de ces « forces du maintien de l’ordre social » (votant à plus de 50 % pour l’extrême droite, revendiquant le droit systématique à la « légitime défense » et la « présomption d’innocence » et le droit au port de l’arme – même pour la police municipale – en toutes circonstances) incite à provoquer une escalade de réaction violente… verbale… voir physique, en insultant, tutoyant, bousculant, intimidant (et en dissuadant, menaçant de « représailles »)… toujours la même population la plus exposée aux brutalités policières impunies, commises lors des contrôles aux faciès, « manifestations interdites » (et refus d’accueil en cas de recherche d’un refuge)… ?

Toute condamnation ferme des actes de violences (« toutes choses égales par ailleurs » quoi) faisant à ce point la Une « sensationnaliste », « spectaculaire », des médias mainstream, que les affaires de la dualité mortifère entre la macronie, et l’extrême, droite extrême… se régalant de rajouter des affaires dans l’affaire… poussant ainsi les pièces de l’échiquier politique, toujours plus vers la « droitisation de la société » (fascisante en col blanc (?) bleu (?) les deux « en même temps »…?)… sur le thème de « l’insécurité »… n’existe t-il pas une limite, une sorte de risque systémique de « dépassement de capacité de charge… » du difficile équilibre démocratique à maintenir… pouvant provoquer un effondrement (abstention…) s’il n’est pas considéré dans l’équilibrage de l’équation « séparant » l’outrage à l’autorité, par rapport à des lois injustes, impunités, « droit à l’erreur… » etc… d’un coté… de l’illégitimité à abuser du prétexte de « refus d’obtempérer » pour prétexter la brutalité… qui impacte toujours la même partie de la population qui est la plus discriminée impunément, dans les inégalités territoriales, scolaires, de « destin » (voir sur fond de crise sanitaire la Guadeloupe, Seine Saint-Denis…) ?

Elle n’est pas dans le « ressenti » elle… mais subit dans sa chair et son être les 80 % d’embauches ne se faisant plus qu’en CDD très courtes durées, temps partiel subi, la plus discriminée impunément aussi dans l’accès au logement et aux droits à la solidarité (NON RECOURS, qui concernent aussi bien l’absence de plainte contre les brutalités citées plus haut, la méconnaissance des droits ainsi que la non défense de ceux ci… jusqu’au fait que plus de 50 % des « bénéficiaires » du RSA, ne touchent en réalité aucun « pognon de dingue mis dans les minimas sociaux, qui fait que les pauvres et se déresponsabilisent »), la désertification des services publics (une partie risquant de saturer), les politiques néolibérales de « réformes structurelles », en plus d’un choix douteux de répéter aux prochaines élections, ce duel mortifère … ?

Ou est cet équilibre de « l’État de droit » arbitrant entre outrage… et usage du « monopole de la légitime violence de l’État » (délégué à 50 % du personnel votant pour l’extrême droite) lorsque la pérennisation de « l’État d’urgence sanitaire », la connivence de médias mainstream avec l’idéologie d’extrême droite, droite extrême et macronienne… confisquent aux débats démocratiques, le dialogue social, « sociétal », privation/privatisation du débat, crainte par ailleurs par M . Toubon ancien « défenseur des droits » lorsque qu’il mettait en garde contre les «discriminations systémiques » (même l’ONU, AMNESTY INTERNATIONAL s’en mêlent)… ?

Est-ce outrager le « bras armé » des « forces du maintien de l’ordre social »… que de dénoncer le risque que représente une « préférence nationale » pour l’extrême droite… dans ce qui pourrait être une majorité de sa composante… s’étant permise de faire des manifestions nocturnes sur les Champs Élysées, ou dans certains quartiers sensibles (après minuit, avec véhicules de services, tous giro allumés et toutes sirènes hurlantes, intimidant ainsi la population) durant le déconfinement alors que « l’interdiction de manifester » pour les mouvements sociaux, « sociétaux »… prévalaient… du moins dans les discours qui voulaient faire des polémiques visant à ne plus en tolérer aucune manifestation du corps social… au sein de l’extrême droite, droite extrême… et macronie… ?

Est-ce outrancier de dire tout cela comme ça, quand tous les « donneurs de leçons de morales », « chiens de garde »… obtempèrent sans « s’interdire d’interdire » une réelle confrontation démocratique, publique, du pluralisme des idées, ni s’indigner, du non respect de la neutralité et d’impartialité du traitement de l’info… du non respect du droit de savoir de la citoyenneté… sans non plus refuser d’instrumentaliser une « droitisation » des « temps de cerveaux disponibles » qu’à vouer un « culte féroce », à une « dictature des émotions » ne sondant que leurs doutes, incertitudes concernant leur « ras le bol fiscal », « poujadisme », « bas instincts »… « droitisation » qui compose pour partie ce « bras armé du monopôle de la légitime violence de l’Etat » … ?

Cette « droitisation » du personnel du tout « sécuritaire » composée de contribuable directe.. est à mettre en opposition à la population discriminée, qui même si elle est non imposable à cause de trop bas salaire, de précarisation et paupérisation des conditions de vies, de travail, « d’insécurité » politique – non « représentativité » – économique, etc, croissante, n’en demeure pas moins contribuable à « l’impôt injuste » des taux de TVA, taxes – hausses des prix des dépenses pré-engagées alimentaires, eau potable, énergétique… – et plus pénalisée par les futures dépenses contraintes que produiront « l’ubérisation et ordinisation » défiscalisée et désocialisée du travail et savoir faire, segmenté à la tâche, technocratisé, dématérialisé, déshumanisé, et de l’emploi précarisé, quand il ne disparaît pas, des services publics privatisés, digitalisés et de l’activité économique du privé – « caisses automatiques », etc…

Qu’ont donc à craindre ces 50% du personnel du « bras armé… » votant pour l’extrême droite, d’une victoire de leur camp, ou de celle de la macronie, quand promesse leur est faite que leur âge de départ à la retraite, ne sera pas aligné, comme il est envisagé de le faire pour la population précarisée, qui voyant déjà son espérance de la vivre en bonne santé, reculer, cumule des pathologies chroniques, avoisinant les facteurs de comorbidités du taux de mortalité de la covid-19…? Qu’ont-ils donc à craindre de devoir vivre, le « plan relance », l’assistanat sans contreparties des propriétaires privés d’entreprises, d’actions… avec une possible baisse de 20% de leur salaire, le sacrifice de congés payés, RTT, jours fériés, majorations d’heures sup, quand leur fonction, statut, est tellement sanctuarisé de tous cotés… et que seuls les plus précaires, en insécurités dans le chantage à l’emploi, l’intention d’imposer sur la « base du volontariat », le « travail gratuit », le « bénévolat subi » contre l’ouverture d’un droit au RSA, à une indemnité chômage… seront concernés, les premiers touchés…?

Est-ce qu’être parfaitement « assimilé », « intégré »… équivaut à obtempérer sans réagir – en intériorisant « l’outrance », « l’outrage » qu’un refus de se faire insulter sans se laisser faire… peut représenter dans une démocratie, réduite qu’à un « Etat de droit » s’accommodant d’une « zone de non droit » enchaînant les NON RECOURS à la fatalité de leur « destin » ? – à la « banalisation », « dédiabolisation », dédramatisation systémique, de l’injure raciste, xénophobe… du tutoiement systématique, de l’abus « d’autorité » de la tentative d’intimidation, de la dissuasion de porter plainte institutionnalisée… de la caricature connotée toujours négativement d’un culte différent, du préjugé méprisant les jeunes des quartiers sensibles (« trafiquants de drogue », etc)… la jeunesse d’une population issue de l’immigration pour qui il faut plus de 6 générations, pour espérer prendre place dans la file d’attente de « l’escalier social »… actes qui devraient suffire à se « légitimer » sous « l’autorité » du « monopôle du droit à la légitime violence de l’État », et le fait que les 50% du personnel de la police qui votent pour l’extrême droite, sont soit disant un reflet de la « société »…? Sauf qu’à partir de quel taux d’abstention cette « légitimité électorale » est invalidée…?

La tentation semble si grande pour l’extrême droite, la droite extrême, et la macronie, de couvrir jusqu’à étouffer d’une chape de plomb, d’un monceau de démagogie, d’une pitoyable « généralisation » amalgamant que ce qui n’ont toujours été que des faits divers… laissant désormais « présumer » un « ensauvagement »… une « banalisation de l’utra-violence »… les risques qu’une crise « sociétale » (dont son fondement dépasse les frontières d’une vulgaire politique nationale, européenne, quand il s’inquiète du dérèglement climatique, de la perte de la biodiversité, des guerres commerciales, monétaires de « civilisations »… des politiques de refus d’accueil des réfugié.e.s) désireuse de « déboulonner » les symboles du paternalisme occidental du colonialisme, de l’esclavagisme, du racisme et des « discriminations systémiques »… font encourir à l’instabilité démocratique actuelle… quand la macronie peut en choisissant de répondre prioritairement à cette opposition « droitisée », essayer de ne pas se faire déboulonner pour sa gestion purement néolibérale de la crise sanitaire, loin d’être finie…

Les deux parties en question, peuvent se contenter de se « réconcilier » pour occuper tout l’espace de l’échiquier, l’abstention leur allant si bien… en vivant avec l’idée de nous convaincre que « vivre avec le virus », pour « sauver des vies », « il faut d’abord sauver l’économie », atteindre l’objectif de »l’immunité collective » en laissant la « nature », la « distanciation sociale », faire un « tri sélectif » en attendant d’avoir un vaccin (ici en l’occurrence c’est le risque de saturation des hôpitaux, etc… et le désabusement du personnel du service public de la santé, qui trinque, refusant d’assumer une quelconque part de responsabilité entre sauver un malade de la covid-19 ou un autre atteint d’une pathologie chronique sévère) c’est aussi bénéfique, « bon », que de « collaborer », coexister, avec la main invisible », la « magie » – « du coté obscure de la force » – de « l’immorale optimisation » (et sa flat tax) spéculant sur la hausse ou baisse des stocks gérés en flux tendu, et des prix, de masques, respirateurs, médicaments, vaccins, manque de place de lits de réa, de personnel hospitalier, de denrées alimentaires, d’eau potable, etc… »

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un lecteur

12 octobre 2020 17h49

Je suis le virus rieur du cornet de fritte.

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Hervey

12 octobre 2020 18h21

J’éclate de rire !

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c

12 octobre 2020 18h35

Le « carton » de frites (seules sont bonnes les frites en cornet belge !) m’intrigue. En plus frappées du virus.
Tout cela pour cela ?
Quelqu’un a-t-il une interprétation ?
A part cela, très belle cover des comics étasuniens.
By St George, contre le dragon !

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1. Johan Leestemaker
  
  12 octobre 2020 18h42
  
  Medellín, le 12 octobre 2020
  
  @ c: ¨Quelqu’un a-t-il une interprétation ?¨
  
  Veuillez me pardonner, c’est probablement une, grande, déception pour vous mais, Chantal Montellier a parfaitement raison:
  
  FRENCH fries: https://www.youtube.com/watch?v=fmUaKg-K-TI
  
  b.à.v. jl
  
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  1. chantal montellier
    
    13 octobre 2020 10h44
    
    Terrifiant!!! Pire qu’une film d’horreur. La frite qui tue…
    
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  2. Johan Leestemaker
    
    13 octobre 2020 23h19
    
    @ Chantal Montellier ¨La frite qui tue…, pire qu’une filme de horreur…¨
    
    Medellín, le 13 octobre 2020
    
    Chere Chantal,
    
    https://twitter.com/sigridkaag/status/1060913507804348418
    
    Chantal, vous ne savez probablement même pas à quel point vous avez raison… Madame la ministre du commerce extérieur, qui, selon la recette néo-libérale, est également ministre de la coopération au développement, et qui est en fait candidate à la présidence du gouvernement prochain au nom de son parti social-libéral D66 aux Pays-Bas, s’attaque à la Colombie parce qu’elle (la Colombie) protège sa propre production (sous-développée en termes techniques) de pommes de terre et de frites avec un tarif d’importation minimal…. Imaginez un instant…
    
    Le même pays (Pays-Bas) et la même dame qui prétendent avec acharnement et persistance soutenir l’accord de paix en Colombie et veulent promouvoir le développement rural en Colombie, qui est au point mort après 57 ans de guerre, s’attaqueront avec la Belgique et l’Allemagne à la Colombie au sein de l’OMC à Genève en raison d’un tarif d’importation minimum sur les exportations de frites fortement subventionnées de l’Union européenne.
    
    Bienvenue dans la folie totale du soi-disant néolibéralisme, qui en réalité n’est rien d’autre qu’une confrontation brute entre des États-nations avec le pouvoir et des États-nations sans pouvoir. Le fameux rapport de force de Paul Jorion.
    
    bien à vous Chantal Montellier. jl
    
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2. juannessy
  
  12 octobre 2020 18h42
  
  Je suis plus inquiet des trois transformations de la statue de la liberté , dont je me réjouis cependant qu’elle ait encore pied .
  
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  1. chantal montellier
    
    13 octobre 2020 10h50
    
    Plus pour longtemps! Elle s’enfonce doucement mais surement. Gloups! (Celle de l’île aux cygnes aussi d’ailleurs.)
    
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  2. Chantal montellier
    
    14 octobre 2020 7h08
    
    Impressionnante cette histoire de frites Juannessy ! Preuve que le libéralisme globalisé rend fou. Quant à Johan, c’est pas beau de se moquer d’une dessinatrice qui s’emmêle les doigts sur le clavier étroit de l’ordinateur ! Méchant, méchant. Quant à Paul, à défaut d’un correcteur, pouvoir au moins se corriger soi-même comme sur Facebook. Surtout que malhabile comme je suis avec les touches, je risque de refaire des fautes de frappe et de me… fritter avec les moqueurs sans pitié. Bon, ok, j’ai qu’à me relire! 🧐🕵️😳🙄
    
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  3. juannessy
    
    14 octobre 2020 11h45
    
    @Chantal montellier :
    
    C’est pas moi qui suis dans le coup de la frite à virus .
    
    Mais j’aime bien les frites ( mais pas trop la bière ) .
    
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3. chantal montellier
  
  13 octobre 2020 10h56
  
  Oui, c’est donner un trop beau rôle à J.B., mais bah… Quoiqu’il en soit, merci pour le compliment.
  
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Hervey

12 octobre 2020 18h39

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Maxfriend

12 octobre 2020 21h45

Chantal, proposition de sous-titre : TRUMPZILLA !

Après la chute, l’exil, c’est bien ce que recommande PJ …

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1. chantal montellier
  
  13 octobre 2020 10h52
  
  Oui, « Trumpzilla », c’est pas mal… Je note. Mais ne comptez pas sur des droits d’auteur!
  
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