Université catholique de Lille, ETHICS, Cycle de 6 visioconférences : L’Après-Covid 19 – 3. L’environnement, aujourd’hui 7 octobre 2020 à 16h00

07 octobre 2020 8h52

Troisième visioconférence.

L’environnement. La pandémie aura-t-elle facilité une prise de conscience du péril que représente la crise climatique ? Ou bien elle et ses soeurs à venir représentent-elles un nouveau risque d’extinction du genre humain, venant s’ajouter à celui que constituait déjà le réchauffement climatique et la montée du niveau des océans ?

Aujourd’hui mercredi 7 octobre de 16h00 à 17h30. Trente minutes de dialogue avec la salle (virtuelle). C’est gratuit.

Vous pouvez vous inscrire ici.

[Chuchoté] : Si vous arrivez à la dernière minute : voici le lien.

Au 7 octobre, la première séance du cycle, 1. La pandémie, a été vue en direct et sur YouTube, 2.168 fois. Et la deuxième séance du cycle, 2. L’économie, a été vue en direct et sur YouTube, 1.536 fois.

L’Après-Covid-19

15 réponses à “Université catholique de Lille, ETHICS, Cycle de 6 visioconférences : L’Après-Covid 19 – 3. L’environnement, aujourd’hui 7 octobre 2020 à 16h00”

Mehdi mountather

04 octobre 2020 10h40

Tempête Alex punition divine Covid-19 punition divine Emmanuel Macron aux français et aux européens de se convertir à l’islam le 4.10.2020 pour éviter la mort par Covid-19 les virus les inondations les foudres les tornades fort séisme vent violent les incendies et tempête de neige.

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1. Paul Jorion
  
  04 octobre 2020 11h31
  
  6 Alors les sept anges qui avaient les sept trompettes, se préparèrent pour en sonner.
  
  7 Le premier ange sonna de la trompette : et il se forma une grêle, et un feu mêlés de sang, qui tombèrent sur la terre ; et la troisième partie de la terre et des arbres fut brûlée, et le feu brûla toute herbe verte.
  
  8 Le second ange sonna de la trompette : et il parut comme une grande montagne toute en feu, qui fut jetée dans la mer ; et la troisième partie de la mer fut changée en sang.
  
  9 La troisième partie des créatures qui étaient dans la mer, et qui avaient vie, mourut ; et la troisième partie des navires périt.
  
  10 Le troisième ange sonna de la trompette : et une grande étoile, ardente comme un flambeau, tomba du ciel sur la troisième partie des fleuves, et sur les sources des eaux.
  
  11 Cette étoile s’appelait, Absinthe ; et la troisième partie des eaux ayant été changée en absinthe, un grand nombre d’hommes mourut pour en avoir bu, parce qu’elles étaient devenues amères.
  
  12 Le quatrième ange sonna de la trompette : et le soleil, la lune et les étoiles ayant été frappés de ténèbres dans leur troisième partie, la troisième partie du soleil, de la lune et des étoiles fut obscurcie : ainsi le jour fut privé de la troisième partie de sa lumière, et la nuit de même.
  
  13 Alors je vis et j’entendis un aigle qui volait par le milieu du ciel, et qui disait à haute voix : Malheur ! malheur ! malheur aux habitants de la terre, à cause du son des trompettes dont les trois autres anges doivent sonner !
  
  (Chapitre VIII).
  
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  1. daniel
    
    06 octobre 2020 21h10
    
    Grandeur des textes poussiéreux. Sagesse des Anciens.
    
    L’éternelle vérité est dévoilée , même si parcimonieusement. 2000 ans environ que cette Vérité dort:
    L’absinthe est dangereuse. N’en buvez pas. La course à l’étoile est un piège.
    Thuyone et toxicité neuropsychiatrique de l’absinthe:
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Thuyone
    
    Devrait pour le moins convaincre les agnostiques, en quête de preuves, de se convertir…
    
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2. Bernie
  
  06 octobre 2020 15h35
  
  @mehdi,
  Ce que nous vivons ressemble à des prémices de guerre qu’il faut combattre chacun de nous. C’est surtout les images télévisuelles sur chacun de ces sujets. Il faut fermer les téléviseurs. La télévision terrienne gratuit a de forts impacts sur le cerveau humain.
  Bonne soirée
  
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  1. Lucas
    
    07 octobre 2020 10h41
    
    Oui elle influence à tort.
    
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3. Bernard
  
  06 octobre 2020 17h25
  
  Ne pas confondre « malédiction « , et besoin de trouver une raison à des ėpreuves dont on ne perçoit pas le sens .
  La colère de Dieu qui frapperait tout particulièrement les plus pauvres : incohérent du point de vue des religions monothéistes , surtout si l’on en croit la vocation de celles ci pour améliorer le sort des plus miséreux.
  
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  1. Lucas
    
    07 octobre 2020 11h48
    
    Le ressentiment est la fleur la plus précieuse de la pauvreté.
    
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  2. Bernard
    
    07 octobre 2020 18h33
    
    @ Lucas l’énigmatique.
    Ne pas confondre se mettre en pétard et se mettre en pétale.
    N ‘est pas querette qui le veut.
    
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  3. Lucas
    
    07 octobre 2020 21h41
    
    C’était pour madame Fleury ! 🙂
    
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juannessy

04 octobre 2020 14h19

Pour » prendre conscience » du danger climatique , encore faut il d’abord ( si l’on accepte que le corps « agit » avant la raison ) en éprouver la « peur ».

Ce qui suppose que notre » inné » a déjà à disposition un acquis d’instinct de conservation orienté sur ce type de « risque » .

Avons nous déjà ( ou encore assez vivace ) l’expérience de crainte d’événement climatique de type réchauffement extrême ?

Si l’on remarque qu’un peu partout dans le monde la notion de chaleur est plutôt associée à bien être ( et ça se retrouve dans le vocabulaire de presque toutes les langues ) , on peut penser ,sinon redouter , que nous soyons plutôt armés psychiquement pour nous prémunir du froid et de ses effets ( nos ancêtres se sont méchamment caillé les miches dans la préhistoire ).

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1. toutvabien
  
  06 octobre 2020 14h54
  
  à ma connaissance on ne vit pas sur une île, et notre corps n’est pas perché. Très vite il capte le réchauffement sous ses effets concomitants, tu ouvres ton robinet pas d’eau, ton frigo est une poubelle, la centrale nucléaire par sécurité a été arrêtée, les odeurs montent, ma boîte n’a plus de clients, etc, etc… on comprend très très vite… après c’est notre capacité individuelle et collective à agir, à répondre, et ça n’est pas moins problématique que le réchauffement lui-même. Il semble que demain soit trop tard pour anticiper.
  
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  1. juannessy
    
    06 octobre 2020 21h19
    
    Je confirme que la procrastination est assez contradictoire avec l’anticipation ….
    
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Lucas

07 octobre 2020 9h37

Si des questions sont snobées mettez Au moins Paul en non-invité pour qu’il puisse – le cas échéant – nous présenter des graphiques.
Merci

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1. Lucas
  
  07 octobre 2020 14h59
  
  Oups je n’y serai malheureusement !
  😀
  
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Otromeros

07 octobre 2020 22h29

Je ne sais pas {{ ^_^}} si le contrôle de l’approvisionnement en eau des habitants d’un État (développé) fait partie de sa « politique d’environnement »… surtout en ces temps de prémices à l’annoncé réchauffement climatique…
Mais il « se passe des choses » pas trop jolies dont ce blog doit faire l’écho…

Difficile de trouver une source synthétique (sauf rt qui nous est interdit?)
Alors , à défaut , pour essayer d’avoir …

+++une vue d’actualité : https://twitter.com/montebourg/status/1312303862641037312

+++une perspective (selon Martine Orange , MDP) :

… » » » Les 3,4 milliards d’euros obtenus de la vente de Suez, censés soutenir son recentrage et son développement dans les énergies renouvelables, ne sont pas une assurance : ils risquent d’être dilapidés à la même vitesse que l’ont été tous les autres actifs précédemment, faisant d’Engie un cas historique de destruction de valeur .

Pour les salariés du groupe, tout ceci de toute façon n’est qu’un prétexte.
« Suez, c’est la première étape du démantèlement d’Engie », pronostique un ancien cadre du groupe toujours très au fait de ce qui s’y passe.
Il déroule un scénario qui lui semble écrit par avance : « Début 2021, le groupe va se séparer de toutes ses activités dans les réseaux de chaleur et de climatisation et les métiers annexes.
Après, en fonction des discussions avec le gouvernement belge sur les centrales nucléaires en Belgique, toutes les activités internationales de production d’électricité seront transférées à Tractebel, ce qui est déjà le cas en termes opérationnels.
Il ne restera que l’ancien GDF, mais un GDF réduit puisqu’il a perdu ses activités d’exploration-production et ses terminaux méthaniers, et quelques investissements dans les énergies renouvelables. Et dans deux ans, on nous dira qu’on est trop petit, qu’il faut se marier. Et l’allié, ce sera Total. Les gens de Total le disent déjà à nos commerciaux sur le terrain. »
« Parce qu’il faut bien faire plaisir aux amis », conclut-il. » » «

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