Une petite note du fait que j’ai dû vexer un nombre considérable d’entre vous. Si je m’en rends compte, c’est parce que facebook me fait parvenir (il me semble que c’est la première fois) un bilan de l’activité de mon compte, m’apprenant en particulier que vous êtes 286 à vouloir devenir mes ami.e.s facebook sans que je puisse rien faire pour vous du fait que le volume de mes amis est limité à 5.000 (est-ce une brimade ne visant que moi ? je n’en ai hélas pas la moindre idée !) et que j’ai ignoré 99+ messages que vous m’avez adressés récemment.
Je ne suis pas très fana des réseaux sociaux comme vous vous en doutez probablement, mon écoeurement datant de l’époque assez lointaine (vers 2005-6) où une collègue de bureau à Thousand Oaks m’encouragea à la rejoindre sur LinkedIn. J’avais commis l’erreur de communiquer à ce réseau mon adresse mail habituelle au lieu d’en créer une nouvelle pour ce seul usage, laquelle fut rapidement polluée par des centaines de mails quotidiens, ce qui m’obligea à la sacrifier ne parvenant pas à me désinscrire de cette peste.
Je signale sur facebook et Twitter les nouveaux billets de mon blog, ainsi que les quelques articles qui retiennent mon attention au cours d’une journée. J’ignore entièrement les réactions que cela pourrait susciter, non pas par mépris mais parce que le blog requiert toute l’attention que je peux consacrer aux tâches ne constituant pas mon immédiat gagne-pain. Si vous voulez communiquer avec moi, soyez gentil.le.s de le faire par le moyen du blog.
P.S. J’ai été l’un des premiers critiques acerbes de l’écriture inclusive, ce qui ne m’empêche pas, comme vous pouvez le constater, d’être probablement la dernière personne au monde à encore l’utiliser dans une sorte de commémoration de sa dimension folklorique.
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