Covid-19 : Épidémie induite de Princesse au petit pois !

Covid-19 : **Épidémie induite de Princesse au petit pois !**

15 août 2020 20h06

Edmond Dulac – La princesse au petit pois

Pour nous éviter éventuellement la mort mais aussi une maladie faisant dire à certaines de ses victimes : « J’ai cru mourir à plusieurs reprises ! », on nous recommande, pour nous protéger nous-même et les autres, le port du masque : un bout de tissu nous couvrant le visage des yeux au menton.

Cette recommandation liberticide et d’une brutalité rarement égalée dans l’histoire a aussitôt produit dans nos pays une épidémie induite de « princesse au petit pois » : des cris d’écorchés, des appels à la rébellion, l’érection de nombreuses barricades.

Épidémiologie

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30 réponses à “Covid-19 : **Épidémie induite de Princesse au petit pois !**”

La main du Kremlin

15 août 2020 20h46

Eh ; oui , pendant que le péril jaune marque inexorablement de plus en plus de points , ayant repris sa course a la croissance, nous nous complaisons dans les vapeurs de midinette !
La chute de l empire a genoux rebat les cartes , nous avons mangé notre pain blanc,la réalité est tetue , notre chute inéluctable !

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DeTempsEnTemps

15 août 2020 23h05

Pour moi la question du port du masque ne fait pas débat puisque, aussi imparfaite soit elle, c est, en dehors des fameux gestes barrière, la seule protection dont nous disposons.

En revanche la contravention qui sanctionne le non port du masque me paraît pleine de promesses, au niveau des contentieux et des embrouilles juridiques qu elle va probablement susciter.
Un article publié sur Agoravox à attiré tout à l’heure mon attention sur la loi 2010-1192 du 11 octobre 2010, relative à l interdiction de porter tout vêtement cachant le visage dans l espace public. Je mettrai les liens à la fin pour rendre à César ce qui lui appartient, en attendant voici les 2 articles importants de cette loi.

Article 1
Nul ne peut, dans l’espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage.

Article 2
I. ― Pour l’application de l’article 1er, l’espace public est constitué des voies publiques ainsi que des lieux ouverts au public ou affectés à un service public.
II. ― L’interdiction prévue à l’article 1er ne s’applique pas si la tenue est prescrite ou autorisée par des dispositions législatives ou réglementaires, si elle est justifiée par des raisons de santé ou des motifs professionnels, ou si elle s’inscrit dans le cadre de pratiques sportives, de fêtes ou de manifestations artistiques ou traditionnelles.

De la façon dont je vois les choses, le décret du 20 juillet 2020 qui, entre autres dispositions, impose le port du masque, est tout à fait conforme à l article 2 de la loi de 2010, c est à dire que les dispositions réglementaires et la situation sanitaire autorisent bien aujourd’hui à déroger à la loi et à porter le masque dans l espace public. Pour autant, la loi existe toujours, et elle reste supérieure à un décret au niveau de la hiérarchie juridique, et elle interdit toujours le port du masque dans l espace public. Dans ces conditions, est il possible de faire payer une contravention à quelqu un qui respecte la loi en ne portant pas de masque? Ça me paraît très fragile. S il y a des juristes parmi vous, j aimerais bien connaître leur avis. J ai l impression qu un bon avocat ne fera qu une bouchée de ces contraventions.

https://mobile.agoravox.fr/actualites/environnement/article/lutter-contre-la-solastalgie-226320

https://beta.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000022911670

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1. François M
  
  16 août 2020 9h16
  
  Les décrets et arrêtés sont des dispositifs réglementaires. Donc pas de problème.
  
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CloClo

16 août 2020 2h09

« Cette recommandation liberticide et d’une brutalité rarement égalée dans l’histoire a aussitôt produit dans nos pays une épidémie induite de « princesse au petit pois » : des cris d’écorchés, des appels à la rébellion, l’érection de nombreuses barricades. »

Oui, oui, une recommandation mon ami, on en reparle quand tu auras comme chaque travailleur va avoir à le subir par obligation dans pas longtemps en entreprise, afin de faire tourner la machine, à porter ce fichu sur le nez et la bouche pendant 8 heures par jour, 5 jours par semaine, 4 semaines par mois, et 12 mois par an. En plus en faisant ses courses, en allant chercher son mioche à l’école, en allant aux réunions parents profs, et accessoirement au café pour aller pisser. Avant de trop l’ouvrir selon moi, chacun se le colle sur le pif 8 heures d’affilé pendant un mois pour toutes ses occupations, et on en reparle.

Donc ne mélangeons pas tout et ne faisons pas passer les gens pour des idiots récalcitrants, si chacun peut comprendre l’utilité civilement bien compris de la protection, quand on passe en mode obligation permanent, on change de contexte, surtout pour faire tourner le système, alors que les nantis, retraités compris, respirent à l’aise dans leur salon. Suis-je claire ?

La moraline et le ton inquisiteur sur le sujet sont contre productif et limite indécent.

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1. Paul Jorion
  
  16 août 2020 10h54
  
  « Donc ne mélangeons pas tout »
  
  Ah tiens ? Vous avez remarqué aussi que c’est ce que vous faites systématiquement !
  Vous pourriez peut-être procéder dans l’ordre :
  
  1. Le masque est-il efficace oui ou non ?
  2. Si oui, est-il supportable dans tous les environnements.
  3. Dans les environnements où il n’est pas supportable, y a-t-il des alternatives au port du masque ?
  Etc.
  
  Votre méthode consistant à engueuler tout le monde a atteint les limites de sa propre efficacité.
  
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  1. CloClo
    
    16 août 2020 10h59
    
    Pour le mélange, je parlais de présenter les « récalcitrants » comme des faux apôtres de la liberté alors que c’est des conditions de travail dont on parle.
    
    Et dans de nombreux environnement il n’y a pas d’alternatives et pas de distanciation réelle.
    
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2. Olivier Reivilo
  
  16 août 2020 14h31
  
  Avant la pandémie, dans la santé ou l’alimentaire, des travailleurs devaient déjà porter le masque toute la journée.
  
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Pierre-Yves Dambrine

16 août 2020 9h07

Un gros point noir avec les masques qui est négligé par les pouvoirs publics.
Les masques, en particulier les masques chirurgicaux (ceux qui sont portés en plus grand nombre, les masques bleu) ne soient pas bio-dégradables. On voulait limiter la production de plastique, c’est raté. Actuellement pour un bien (se protéger contre SarsCov) on augmente un mal (la pollution de l’environnement par les masques). Autant de micro-particules de plastique qui viendront s’ajouter à toutes celles qui se trouvaient dans l’océan.

Quelques solutions existent, mais ça n’a pas l’air de beaucoup préoccuper le ministère de l’écologie qui limite sa communication au phénomène de la pollution générée par l’abandon sauvage des masques par leurs propriétaires. Pourtant, sans vaccin, des masques on va en avoir besoin pour un certain temps encore, pour ne pas dire un temps certain.

https://fr.euronews.com/2020/05/21/coronavirus-alerte-a-la-pollution-aux-masques-jetables

https://www.mariefrance.fr/actualite/chercheurs-inventent-masques-de-protection-biodegradables-lutter-contre-pollution-481583.html#item=1

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1. arkao
  
  16 août 2020 9h33
  
  Ces masques ne devraient pas se retrouver dans les océans s’il étaient jetés par leurs utilisateurs dans la bonne poubelle, celle de la queue de tri, destinée à finir en centre d’enfouissement.
  Trier correctement ses déchets, encore une atteinte aux libertés fondamentales 😉
  
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2. François M
  
  16 août 2020 9h33
  
  Oui, tout à fait d’accord ! La solution du masque biodégradable devrait être imposée â moyen terme (un an)
  
  Mais chez notre » Make your planet great again » donneur de leçons mais qui autorise la chasse aux animaux protégés, à la glue, ou qui autorise des pesticides systémiques à durée de vie permanente dans le sol et les nappes phréatiques plutôt que d’investir dans la production bio de betteraves, tu t’attendais à quoi ? Il faut sauver les industriels amis qui ont investi quelques centaines de milliers d’euros dans des machines automatiques de production de masques ffp1 plastifiés et leur laisser de quoi faire de juteux bénéfices dessus…
  
  Répondre
Hervey

16 août 2020 10h30

Testeur de tests : « scientifiquement parlant on est sur le cul »
https://www.youtube.com/watch?time_continue=1410&v=vrjmY_ffgAg&feature=emb_logo

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Nicolas

16 août 2020 12h34

Ce qui fait peur dans cette histoire, que le masque soit agreable ou non avec alternative ou non, c’est que, compte tenu des multiples épées de Domacles qui planent au dessus de nos têtes, la capacité d’adaptation de l’occident (individuelle ou collective) est de plus en plus proche du zéro.

La suite de l’histoire de notre espèce sera sans doute remplie d’absence de contrôle et du coup d’absence de choix.
Dur de croire que les mesures nécessaire seront mise en oeuvre sans réaction très négative de la population…
Population qui croit de plus en plus fort au père noël comme vous le signaliez !

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Christian Brasseur

16 août 2020 12h36

Le bon-sens du cultivateur, avec ses valeurs, a disparu depuis sa propre disparition … et l’apparition du glyphosate… Le principe de précaution (le masque) disparaitrait-il il avec le covid, et la course …au remède? Qui vivra verra!

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2Casa

16 août 2020 15h58

Ayons quand même une petite pensée émue pour tous ces joggers qui, pendant leurs vacances, sont venus s’entasser dans les bars et les restos et vont devoir, maintenant, assis dans leurs bureaux, porter un masque. Pauv’ tits choupinoux !

C’est vraiment trop injuste quand la misère s’acharne…

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1. Paul Jorion
  
  16 août 2020 18h52
  
  Je viens de passer une heure avec mon ex-compagne : comme je le raconte dans Mes vacances à Morro Bay, je l’ai vue pour la première fois sans masque dans un café de Union Street, à proximité de son cabinet de dentiste, seulement plusieurs semaines après notre première rencontre. Depuis cette époque, il y a 17 ans, elle porte le masque 5 jours par semaine de 9h à 18h+
  
  Son opinion, la même : « On a connu pire pendant la guerre… »
  
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2. CloClo
  
  16 août 2020 18h57
  
  Sérieux ?
  
  Maintenant c’est « c’était pire pendant la guerre » ?
  
  Je suis dubitatif, non pas de la dureté de la guerre, mais du raisonnement sous-jacent.
  
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  1. Paul Jorion
    
    16 août 2020 19h28
    
    = On s’habitue. Et on renvoie les « princesses au petit pois » à leurs soucis de princesses au petit pois.
    
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  2. CloClo
    
    16 août 2020 19h48
    
    Je ne te prend pas à parti hein, mais je soulève un point de vu.
    
    Dentistes … Bureaux climatisés… On s’habitue, toujours plus facilement dans la bonne ambiance et avec les bons salaires.
    
    Suis-je donc bête de ne pas le comprendre ! Derrière les lignes pendant la guerre, un bon paquet avait leur opinion sur ce qui était bon pour ceux du front, surtout ceux dans les tranchées.
    
    En revanche la dernière fois que tu as marner dans un atelier, une usine, un chantier, par 35 degrés, voir un bateau de pêche, c’était il y a longtemps n’est ce pas ? Très longtemps ? Tient en parlant de bateaux de pêche comment font-ils pour porter le masque en pleine action à plusieurs sur le pont avec les embruns lorsque la distanciation « sociale » n’est pas possible ? Je ne parle pas du fond de la mine, ça ferait trop Germinal.
    
    Tu peux aller leur raconter cette histoire de » princesse au petit pois », ça devrait les faire bien rire. Le pire en fait, c’est que tous ces gens, accepterons certainement, non pas parce que c’était pire pendant la guerre, mais parce qu’ils n’ont aucune alternative. Et après on s’étonne des rebellions et des prises de risques.
    
    Ma c’est vrai on s’habitue à tout, chacun selon degré d’acceptation à la gêne et aux souffrances. On s’habitue même à la misère et à la souffrance (le plus souvent des autres). J’ai toujours détesté ce raisonnement.
    
    Bah vois-tu, je préfère la solution de P.Soubeyrand à tout prendre, elle est porteuse de sens au moins.
    
    Sinon après le masque on leur impose quoi aux travailleurs, sans compensation d’aucune sorte, vu que c’était pire pendant la guerre ?
    
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  3. arkao
    
    16 août 2020 21h34
    
    @CloClo
    En toute amitié je vous le dis, j’ai l’impression que vous vous enfermez dans une posture dont vous ne voulez pas démordre. Comportement que je comprends d’autant mieux que j’en ai été coutumier au sujet du réchauffement climatique, jusqu’à ce qu’on me fasse réaliser que je souffrais simplement d’une dissonance cognitive 🙂
    
    Répondre
  4. CloClo
    
    16 août 2020 23h34
    
    Arkao, je te remercie de ta sollicitude.
    
    Je n’ai pas pour habitude de m’enfermer dans une posture. Et question dissonance cognitive, la contradiction interne ou externe est le principe même du progrès intellectuel selon moi. Mais là n’est pas la question.
    
    Quand tu n’as pouvoir que sur toi, dans ton coin, et dans un contexte favorable, (activité restreinte, ou rémunératrice), tu peux dire facilement, les bénéfices du port du masque sont pour moi et la collectivité supérieurs aux quelques tracas et inconforts inhérents. Tu peux te dire, et puis bon pendant la guerre c’était quand même plus dur. Et tu te souviens de l’histoire des petits pois et tu t’habitues parce que tu le vaux bien. Moi ça ne me pose aucun problème ça. Et je suis bien d’accord.
    
    Maintenant, quand tu as pouvoir non pas de recommander mais d’imposer le port du masque à une large portion d’êtres humains (n’ayant jamais eu cette contrainte) sous ta responsabilité « contractuellement parlant », surtout si les instructions gouvernementales t’accompagnent dans ce pouvoir et te soutiennent, et que tu as les moyens de coercition qui vont de paires. Lorsque ces mêmes personnes viennent te voir et te disent, « sérieusement, c’est juste pas possible de porter ça toute la journée au boulot dans les conditions actuelles, et purée j’y vois rien sur mes lunettes, et j’ai failli me casser la gueule hier, j’arrive pas à respirer quand je force, ou je ne le supporte pas ça me gratte tout le temps, les autres ne le mettent même pas, et j’en ai plein le cu*** de tout ça, etc etc ». J’en passe et des meilleurs. De plus tu sais pertinemment que tu n’as la possibilité réelle de modifier le cadre de travail ou l’exécution des tâches, trop facteurs de paramètres, d’intervenants, puis bon hein les gars, on a fournit les masques, le reste après hein, chacun sa mer***.
    
    Là, tu vois sortir : « c’était plus difficile pendant la guerre » ou faut « vous habituez les petits ». Je ne sais pas, ça sonne étrange non ?
    
    Mais possiblement je suis le seul à comprendre de quoi je parle. Dissonance cognitive oblige !
    
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  5. Dup
    
    17 août 2020 17h54
    
    Cloclo il faut peut etre penser a refuser les activités auquelles on te contraint qui ne permettent pas le port du masque plutot que le port de celui ci. Tu parles comme si trimbaler 10 kg de semelles de plomb t etais egal et tu proteste pour 100g de plus moi j aurais tendance a lacher les semelles avant le masque 🙂 Parfois le fainéant n est pas le moins rationel 😉
    
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3. 2Casa
  
  17 août 2020 0h39
  
  Salut mon CloClo,
  
  Comment te dire ?
  
  Ouais, c’est pénible par 30 à 35 degrés quand tu cherches ton souffle en permanence dans l’effort (12 à 18 000 pas / jour, jamais au rythme de la cueillette des pâquerettes sur le bord de la route, des crampes dans les jambes toutes les nuits, l’obligation de marcher même quand tu es en repos parce que sinon t’as mal, façon cycliste qui continue à pédaler la nuit – je pleure pas, je situe !). Que tu finis tes journées avec une barre en travers du front, sans doute à force de respirer du gaz carbonique MAIS que t’as rien d’autre (hors gel hydroalcolo et le seul vrai remède de Marseille : le savong) et que tu es CONTRAINT de venir bosser (au péril de ta vie quand même) pour que des neuneus en vacances viennent s’entasser VOLONTAIREMENT pour leur seul plaisir dans des lieux clos bondés…
  
  Franchement, tu vas pas pleurer sur le sort de ces pauvres malheureux. No way. Même pas en rêve.
  
  Quelle que puisse être l’utilité réelle du truc et ce, malgré la schtorbolite aigüe qui tend à devenir chronique ainsi que ces foutus masques jetables qui s’effilochent en vingt minutes et te grattent la tronche en permanence !
  
  Pour le reste des mesures barrières, au rythme où ça bosse de toute façon, ça frôle même plus l’hypocrisie, c’est de l’euthanasie aléatoire… Genre roulette russe.
  
  Quant aux joggers et autres sportifs du dimanche, alors là, j’en parle même pas. Qu’ils commencent par aller bosser à pied, ça leur fera le plus grand bien et à nous aussi.
  
  La principale atteinte à ma liberté ça reste qu’on ait le droit d’être aussi cons ! C’est gravissime de bêtise crasse.
  
  (Le prends pas pour toi, il me semble que malgré ta position tu as compris. 😉 )
  (Mais je préfère préciser)
  ( 🙂 🙂 🙂 On sait jamais 🙂 🙂 🙂 !)
  
  @ Don du Ciel
  
  Alors ?! Que vaut l’analyse des sophismes et de leurs travers face à l’expérience de la jolie petite demoiselle ?!
  
  Envisager (terme finalement assez approprié) véritablement sa propre mort – la noyade dans les poumons c’est plutôt tranquille finalement – vous a de ces airs de révélation mystique qui laissent la rhétorique et le savoir livresque loin derrière la simple relation de l’expérience…
  
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Bernard

16 août 2020 17h26

Le port du masque … importante question existentielle.
Une pensée pour Zorro qui a enduré sans broncher .

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1. Arnould
  
  17 août 2020 0h19
  
  Perso, quand j’ai dû choisir des études, chirurgien hors de question à cause du masque, je suis un peu clostrophobe. Il y a quelques jours j’ai vu à la télé 2 jeunes filles de Beyrouth porter le masque comme John Wayne, le bout de tissus que les cow-boys de westerns portaient soit autour du cou soit remontaient sur le nez. Il couvre nez et bouche, il protègeait John de la poussière, il protègera bien mon prochain de la covid-19 pendant les quelques années à venir.
  
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Bernard

16 août 2020 17h56

Une idée qui réconcilierait tout le monde , ce serait de trouver au masque une utilité fondamentale autre que celle de « protéger « du covid .
Par exemple , on pourrait afficher sur celui ci ses convictions personnelles : au choix « parle à ma main du Kremlin » , « j’ai le cloclonavirus « ,
« lisez comment sauvez le genre humain « …
Pour les opinions politiques, les masques de couleurs pourraient avoir un bel avenir .Masque jaune notamment ?
Surtout , il faudrait faire du masque un bel objet .

https://www.youtube.com/watch?time_continue=66&v=UDu2b85KB7E&feature=emb_logo

.

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1. Paul Jorion
  
  16 août 2020 18h56
  
  Répondre
  1. Bernard
    
    16 août 2020 19h10
    
    Ou bien…😏
    https://fr.euronews.com/2020/08/16/les-masques-loufoques-du-costumier-edmond-kok
    
    Répondre
Otromeros

17 août 2020 10h37

Quelques réflexions à prendre ou à laisser… en tout ou en partie… » la tyrannie du risque « zéro » « .
https://plus.lesoir.be/318833/article/2020-08-15/crise-de-la-covid-19-la-tyrannie-du-risque-zero

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Guillaume Maes

17 août 2020 12h23

Je pense que le problème de liberté sera bien plus grand quand les vaccins seront disponibles. Plusieurs pays vont rendre obligatoire les vaccinations mais vu les derniers articles sur le sujet, il semble extrêmement difficile d’avoir un vaccin avec efficacité à long terme, de plus il y aura probablement des cas d’effets secondaires liés aux vaccins. On va sûrement voir pleuvoir dès les premières campagnes de vaccination des cas de gens qui se retrouvent très malades après la vaccination comme les cas de plusieurs infirmières ayant pris le vaccin contre le cancer de l’utérus et se retrouvant en maladie prolongée avec des cas de sclérose à plaques. Le problème va encore être le discours sur les vaccins car un vaccin n’est et ne sera jamais inoffensif puisque son objectif est de faire réagir notre système immunitaire pour qu’il apprenne à connaitre le virus et pour des raisons encore inconnues un faible pourcentage réagit toujours mal. Je ne suis pas anti-vaccin mais je ne suis pas pro-vaccin béat non plus c’est pour cela que normalement il y a des tests poussés qui risquent un peu de passer à la trappe vu l’urgence. Aurons-nous un passeport à porter sur nous avec les cachets de chaque vaccination pour nous permettre de voyager, d’aller dans un festival, … ? Si nous voulons revenir dans la même vie qu’avant et en gardant le concept de risque zéro, il n’y a presque que cette solution. Ce qui m’effraye tout autant c’est probablement de me dire que les comportements actuels on en a pour plus que deux ans à vivre avec, cela risque de devenir la règle le reste de notre vie par crainte d’une nouvelle pandémie … par crainte de mourir ce qui nous questionne sur notre rapport à la mort dans notre société actuelle. Vivre c’est accepter le risque mais on dirait qu’aujourd’hui notre société n’accepte plus le moindre risque.

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Dup

17 août 2020 17h44

Moi ce que je me demande c est s il est plus dangereux de porter un masque et de se sentir protégé et donc de s expiser plus ou de ne pas en porter et de moins s exposer se sachant vulnerable.? Le port du masque n est pas tant la question que : que ferez vous masqué que vous n auriez pas osé faire non masqué ? … Si cest mettre un masque pour aller s aglutiner au puy du fou en se croyant protégé je suis resolument contre le masque… Et pour aller aubout de la pensée il faut bien reconnaitre que porter un masque tout seul chez soi est quelque peu inutile… Alors le masque quand on pas le choix que de se mettre dans une situation a risque oui mais avant tout eviter de s y mettre au lieu de vivire comme si de rien n etait sous pretexte qu on porte un masque… Pourquoi j ai l impression que je dis une lapalissade et que pourtant monsieur tout le monde se comporte a l inverse? Peut etre parceque moi aussi?…

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