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M. Édouard Philippe, Premier ministre français, dit : « Voici ce que nous ferons le 11 mai, dans treize jours : les jours heureux seront revenus… ». Et l’espoir renaît. Et il ajoute prudemment « si les circonstances le permettent… ». Et l’espoir retient son souffle. Avant de conclure « mais les nouvelles récentes ne sont pas entièrement rassurantes sur ce front là… » Et l’espoir rentre dans sa coquille.
Peut-on reprocher à un Premier ministre de gérer une crise inédite comme une affaire de « relations publiques », ou comme l’on dit aujourd’hui, de « com’ » ?
S’il faut quelqu’un pour lui jeter la pierre, ne comptez pas trop sur moi : j’ai lu Sophocle, Eschyle et Euripide…
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