Ce qu’il faut lire dans le graphique ci-dessus des taux de décès cumulés, c’est l’angle. Plus la courbe est dressée, moins c’est bon : moins le processus est maîtrisé, les morts continuent de s’accumuler. La Belgique (en rouge) a la plus mauvaise tendance. Les États-Unis (en mauve), malgré les très importants nombre de cas (½M+) et de décès (23,6k), en chiffres absolus, maintient un faible taux de décès cumulés.
Dans le graphe ci-dessus, il est normal que les courbes convergent : l’échelle du taux de décès cumulés est logarithmique. Ceci implique en effet qu’une différence de 1 millionième dans le bas du graphique apparaîtra énorme, mais plus on monte plus elle apparaîtra négligeable. Ce qui compte pour un pays, c’est la courbure : plus la courbe fléchit plus le processus est maîtrisé. Quand il l’est tout à fait, la courbe est devenue une horizontale. Ce qu’on voit dans ce graphique, c’est que l’Italie et l’Espagne étaient jusqu’ici les plus mal loties. Mais la Belgique (en rouge) est en passe de les dépasser.
@tata Dans la conscience des astrophysiciens cosmologistes 4/5 de la matière est de la matière « sombre » sur laquelle vous ne…