Dans l’immédiat, les compagnies nationalisées aujourd’hui continueront de s’occuper de la gestion pendant un certain temps et l’État leur versera « une participation aux frais ».
Ce n’est qu’un début, j’en suis sûr, et ce ne sera pas qu’au Royaume-Uni. Aussi, préparons-nous déjà à gueuler quand ils et elles chercheront à rétablir, passée la crise, le « capitalisme des bénéfices et communisme des pertes ».
Si ce sont bien des chercheurs qui écrivent cela, pourquoi ne lit-on aucune différence entre ce qu’ils affirment et ce…