Ouvert aux commentaires.
Là vous parliez d’il y a 45 ans ! Beaucoup d’eau a passé sous les ponts … Non, c’est ailleurs…
*Godot est mort !*
Sgulp… Moi qui parlais de stades… :-/
Ouaip, en France, quand on te dis » regroupez vous dans le stade « , faut prévoir un enthousiasme mesuré….
il est urgent de diffuser trois informations aux plus hautes autorites:
– l isolement doit etre strict: personne dehors
– l’isolement doit etre expliqué et appliqué au plus en INTRA FAMILIAL MEME ASSYMPTOMATIQUE
– il ne sert a rien de chercher a mettre au point un vaccin aujourd’hui mais UN TEST DE DIAGNOSTIC RAPIDE AMBULATOIRE ET MASSIF A PRODUIRE ET APPLIQUER Pour pouvoir screener le plus rapidement possible l’ensemble de la population et diminuer rapidement et radicalement le potentiel propagatoire.
Enfin une info pertinente et un conseil désintéressé pour nos digeants ….
Merci d’avoir retransmis cette vidéo.
Daté du 17/3 ??
Respect de ce qui est dit. Pas d’avis pertinent à priori , mais je ne vois pas comment on peut sélectionner et rassembler les individus qui présentent des signes extérieurs « classiques » sans se faire côtoyer les « simples grippés » et les vrais porteurs du Covid.. , leur faire passer à tous un SCAN thoracique.. etc etc.. entrainant donc de favoriser la multi-contamination globale au Covid ..
Certains commentaires associés à la vidéo ne manquent pas d’intérêt , sauf qu’il n’y est pas répondu..
La mise en évidence de ctte vidéo par P.J. himself devrait permettre la suggestion du texte-pamphlet de Michel Onfray : » Bérézina » …disponible sur un support peu apprécié ici que je ne nommerai pas..
Le meilleur côtoie le pire ( selon moi) dans ce texte. Assez percutant de lire ces extraits :
… » » » Pendant que la populace achetait des tonnes de papier toilette, ce qui permettait d’avouer qu’elle avait, disons-le comme ça, le trouillomètre à zéro, les comités de scientifiques invisibles chuchotaient à l’oreille du président ce qu’il convenait de faire entre gestion de l’image présentielle et santé publique, proximité des élections municipales et mesures d’hygiène nationale, situation dans les sondages et décisions prophylaxiques. Un mélange de Sibeth Ndiaye et de docteur Knock fabriquait alors la potion infligée par clystère médiatique au bon peuple de France. Nul besoin de préciser qu’il s’agissait d’une soupe faite avec une poudre de perlimpinpin aussi efficace qu’un médicament commandé sur internet… en Chine! Quel était cette position magique? Une grande admonestation libérale, un genre de leçon de chose prétendument antifasciste. Il s’agissait de montrer aux abrutis de souverainistes la grandeur de l’idéologie maastrichienne: plus de frontières, libre circulation des hommes, donc des virus! Les chinois étaient contaminés mais ils n’étaient pas contaminants: nous étions immunisés par la beauté du vaccin de Maastricht! Pendant qu’ils fermaient leurs frontières, nous ouvrions les nôtres plus grand encore -si tant est que cela puisse être encore possible… Nous nous offrions au virus. Voilà pourquoi, sur ordre du chef de l’État, le gouvernement français s’est empressé d’aller chercher sur place les expatriés français qui travaillaient en Chine. On n’est jamais mieux servi que par soi-même: si l’on devait se trouver contaminés, qu’au moins ce soit en allant nous-mêmes chercher le virus sur place et le ramener en France. Mais pas n’importe où en France, non, pas à Paris, bien sûr, ni au Touquet, mais en province qui est, en régime jacobin, une poubelle ou un dépotoir dont on se souvient toujours dans ces cas-là. Une première livraison s’est faite dans le dos du maire d’une commune du sud de la France, une seconde en Normandie où nous avons l’habitude des débarquements. La mode à l’époque, nous étions dans le premier acte de cette histoire, consistait à rechercher le client zéro: celui qu’il aurait fallu confiner chez lui pour que rien n’ait lieu, un genre de bouc émissaire à traire. C’était chercher la première goutte du raz-de-marée avec le projet de l’enfermer dans une bouteille afin que la catastrophe n’ait pas lieu. Il fut dit que, peut-être, ce numéro zéro serait à chercher sur la base militaire d’où étaient partis les soldats français missionnés pour aller taquiner le virus chinois sur place avant de rentrer chez eux. Que croyez-vous qu’il advint à ces militaires ayant été au contact de gens immédiatement mis en quarantaine après leur retour de l’empire du Milieu? Ils ont été renvoyés chez eux en permission… Pas question de les mettre en quarantaine! Quelle sotte idée c’eut été! Qu’on aille donc pas chercher aujourd’hui le client zéro car il se pourrait bien qu’on puisse obtenir des informations qui nous permettraient demander des comptes au ministre de la défense et au chef des armées auquel il a obéi. » » »
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… » » » La preuve, le troisième acte décidé par… Emmanuel Macron lui-même. Dans un premier temps, le Président tire une salve pendant un long monologue d’une demi-heure: fermeture des crèches, des écoles, des collèges, des lycées, des universités, réduction des contacts avec autrui, en priorité les personnes âgées. Et puis, bien sûr, le coude et le savon, le gel et la bise, des armes de destruction massive. Or, qu’est-ce que ce confinement sinon l’invitation à fabriquer autant de frontières qu’il y aura de Français? La frontière nationale n’est pas bonne, mais la frontière qui sépare de son prochain est présentée comme la solution, la seule solution nous dit-on. Le virus qui ignore les frontières se trouve donc tout de même contenu par les frontières pourvu qu’elles soient érigées par chacun contre son prochain pensé comme un contaminateur potentiel. Ce qui marcherait pour les monades ne marcherait donc pas pour les États! Étrange paralogisme … » » »
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Les libéraux et leurs cervelles soixante-huitardes voulaient des monades et des consommateurs en lieu et place de citoyens et de républicains? ils les ont… Ils souhaitaient jouir sans entraves? ils jouissent sans entraves… Ils affirmaient qu’il était interdit d’interdire? ils se croient résistants en se faisant la bise… Ils croient toujours que CRS=SS? Ils n’auront pas même vu la queue d’un policier municipal à vélo ou en mobylette, sinon en roller, pour leur rappeler que Jupiter dans son Olympe a décidé qu’il fallait éternuer dans son coude. Olympien comme le comédien d’un club de théâtre dans un lycée, Emmanuel Macron a dit: « Ce que révèle d’ores et déjà cette pandémie, c’est que la santé gratuite, sans condition de revenus, de parcours ou de profession, notre État-providence, ne sont pas des coûts ou des charges, mais des biens précieux, des atouts indispensables quand le destin frappe. » Et puis ceci: « Ce que révèle cette pandémie, c’est qu’il est des biens et des services qui doivent être placés en dehors des lois du marché. » Quel talent! Quel menteur! Quel bouffon! Mais quel mauvais comédien… Cet homme qui a mis sa courte vie au service du Veau d’Or fait semblant aujourd’hui de découvrir que piétiner l’intérêt général, conchier le bien public, compisser la santé dans les hôpitaux quand elle était pilotée par les comptables, ce n’étaient peut-être pas exactement les bons choix! Qui croira cet hypocrite dont toute la politique depuis qu’il est au pouvoir consiste à détruire le système de santé (et de retraite) français? C’est la quintessence du projet politique libéral mené sans discontinuer par les présidents de la V° république depuis la mort du général de Gaulle. Quiconque écoute les personnels de santé depuis des mois (ils sont en grève depuis un an…) sait qu’en temps normal, avec cette politique libérale, ils sont débordés et impuissants tant l’hôpital public est malade sinon mourant. Qui pourra croire que la France est en état de recevoir un afflux massif de malades du coronavirus alors que la congestion était déjà là avant l’épidémie ? Ce qui est dit par quelques spécialistes de la santé c’est, je vais l’exprimer de façon brutale, que lors du pic à venir, phase 4, nommons-là comme ça, il faudra, faute de places pour tous, trier les arrivants et laisser les vieux à leur sort, donc à la mort… Voilà où mène le libéralisme initié par Pompidou & Giscard, augmenté par Mitterrand en 1983, accéléré par le traité de Maastricht en 1992 et tous ceux qui, droite et gauche confondue, communient dans cette idéologie, puis par Macron qui, depuis son accession à l’Élysée, a voulu activer ce mouvement à marche forcée. Voici une autre leçon donnée par cette crise, en dehors d’apprendre l’impéritie du chef de l’État: les caisses sont vides quand il s’agit d’augmenter le SMIC ou le salaire des plus modestes; elles le sont quand ces mêmes personnes doivent être soignées (on ne compte plus ceux qui ont renoncé à s’occuper de leurs dents, de leur ouïe, de leur vue à cause de leur pauvreté ; elles le sont quand il faut se soucier des paysans dont l’un d’entre eux se suicide chaque jour ; elles le sont quand il faut construire des écoles ou des universités, doter les hôpitaux de matériel performant, humaniser les prisons, recruter des fonctionnaires, financer la recherche scientifique dont nous aurions bien besoin aujourd’hui, laisser ouvertes des écoles de campagne, maintenir en vie les lignes de chemins de fer en dehors des grandes villes et des grands axes; elles le sont quand il faudrait se donner les moyens de récupérer la multitude de territoires perdus de la République), elles le sont si souvent quand il faudrait construire une République digne de ce nom. » » « …
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… » » « Mais il y a de l’argent pour faire face à cette crise économique qui s’annonce… Tous ces gens mis au chômage technique par cet état de siège seront payés -par les assurances chômage. C’est bien sûr très bien, mais il y avait donc de l’argent… Plus un café, plus un restaurant, plus un lycée, plus une école, plus un commerce, sauf liste donnée, plus un cinéma, plus une salle de spectacle ne sont ouverts, mais Macron nous assure que « l’État prendra en charge l’indemnisation des salariés contraints de rester chez eux ». Mais alors, bonne nouvelle, l’État existe encore? Il peut fonctionner? Il sait faire autre chose que prélever les impôts et recouvrer les amendes? Il sait faire autre chose qu’envoyer sa police et son armée tabasser les gilets-jaunes? Il sait faire autre chose que de subventionner des médias publics pour diffuser massivement l’idéologie maastrichtienne? Il sait faire autre chose que de libérer les élus délinquants renvoyés chez eux? Vraiment? Ce virus fait donc dire des bêtises à Macron: on pourrait donc être solidaires et fraternels en France? On pourrait estimer que le consommateur hédoniste n’est pas l’horizon indépassable de notre modernité et qu’on peut aussi être un citoyen responsable? On pourrait trouver de l’argent public pour financer des solidarités nationales au-delà des habituels bénéficiaires? Il y a là matière à révolution: il est bien certain qu’Emmanuel Macron est le dernier homme pour la réaliser. Après le virus, il faudra y songer . » » » …
A classer.
Bonne route donc à tous.
Vous n’êtes pas sans savoir qu’une majorité de français veulent tout autant se débarrasser du virus que de cette catastrophe de Macron et son gouvernement. Pour nous, les travailleurs, il y a une guerre dans la guerre.
Lordon: « Les connards qui nous gouvernent »
https://alt-rev.com/2020/03/19/lordon-les-connards-qui-nous-gouvernent/
Oui, bien sûr, il s’agit d’une « guerre » mais, ici, on oublie aussi ceux qui subissent une véritable guerre avec bombardements (en particulier des écoles et des hôpitaux), déstructuration de toute vie sociale, exode massif, famine, absence de refuge : plus personne ne parle de ce qui se passe en Syrie ou dans les camps de réfugiés, là où il y a à peine de quoi se nourrir et, bien sûr, aucun masque, pas d’eau (ou pas assez d’eau) pour se laver les mains.
En Syrie, ne pas oublier que les milices iraniennes viennent en aide au gouvernement d’Assad et transmettent ainsi le virus qui ravage leur propre pays.
C’est aussi pourquoi le terme de « guerre » me semble inapproprié chez nous. Je n’ai pas beaucoup d’autres propositions à faire pour nommer ce à quoi les occidentaux sont aujourd’hui confrontés (lutte ? combat ?) mais si d’autres ont des idées, je suis preneuse.
Cher Monsieur Jorion,
Je ne vous lisais plus trop ces dernières années, l’admiration a laissé place à la lassitude.
Finalement je suis revenu, parce que votre avis compte, parce qu’il m’eclaire dans les moments obscures.
Je regrète le titre de votre billet, voila un message qui explique pourquoi :
« Nous ne sommes pas en guerre » par Sophie Mainguy, médecin urgentiste.
NOUS NE SOMMES PAS EN GUERRE et n’avons pas à l’être…
Il est intéressant de constater combien nous ne savons envisager chaque événement qu’à travers un prisme de défense et de domination.
Les mesures décrétées hier soir par notre gouvernement sont, depuis ma sensibilité de médecin, tout à fait adaptées. En revanche, l’effet d’annonce qui l’a accompagné l’est beaucoup moins.
Nous ne sommes pas en guerre et n’avons pas à l’être.
Il n’y a pas besoin d’une idée systématique de lutte pour être performant.
L’ambition ferme d’un service à la vie suffit.
Il n’y a pas d’ennemi.
Il y a un autre organisme vivant en plein flux migratoire et nous devons nous arrêter afin que nos courants respectifs ne s’entrechoquent pas trop.
Nous sommes au passage piéton et le feu est rouge pour nous.
Bien sûr il y aura, à l’échelle de nos milliards d’humains, des traversées en dehors des clous et des accidents qui seront douloureux.
Ils le sont toujours.
Il faut s’y préparer.
Mais il n’y a pas de guerre.
Les formes de vie qui ne servent pas nos intérêts (et qui peut le dire ?) ne sont pas nos ennemis.
Il s’agit d’une énième occasion de réaliser que l’humain n’est pas la seule force de cette planète et qu’il doit – ô combien- parfois faire de la place aux autres.
Il n’y a aucun intérêt à le vivre sur un mode conflictuel ou concurrentiel.
Notre corps et notre immunité aiment la vérité et la PAIX.
Nous ne sommes pas en guerre et nous n’avons pas à l’être pour être efficaces.
Nous ne sommes pas mobilisés par les armes mais par l’Intelligence du vivant qui nous contraint à la pause.
Exceptionnellement nous sommes obligés de nous pousser de coté, de laisser la place.
Ce n’est pas une guerre, c’est une éducation, celle de l’humilité, de l’interrelation et de la solidarité.
Sophie Mainguy, médecin urgentiste
C’est un splendide poème dans la grande tradition de la « pensée positive ».
Médecin urgentiste pendant 15 ans, profondément convaincue de l’interventionnisme obligatoire de la médecine, Sophie Mainguy a radicalement changé sa perception du monde à l’occasion d’une expérience intense de maladie. En état d’impotence prononcé, alitée pendant plus de 3 ans, elle découvre la puissance de l’esprit via l’attention et une profonde connexion au vivant. Cette révolution imposée a marqué les prémices d’une transformation toujours en cours et elle a pu, grâce à une subtile écologie intérieure, revenir dans l’activité de la vie.
Adaptant son expérience aux spécificités du milieu carcéral, elle publie son meÌmoire de DU sur le thème : “Impact de la pratique de la meÌditation de pleine conscience par le soignant dans une relation theÌrapeutique meÌdicale eÌlargie en milieu carceÌral ” pour la faculteÌ de meÌdecine de Nice.
Je ne suis pas certain que ça nous soit d’un très grand secours.
En cherchant bien , chacun des commentateurs va bien trouver un ou une médecin urgentiste pour conforter sa propre opinion , de la même façon qu’il est devenu courant de trouver le lien qui raconte ce qu’on voudrait dire et que l’on ne sait ,ou peut , pas dire .
Cher Hector,
vous êtes la preuve que le coronavirus pour dangereux qu’il soit pour les poumons l’est aussi malheureusement pour notre cortex et notre équilibre psychique. Au lieu de lire Sophie Mainguy lisez « Le destin des maladies infectieuses » de Charles Nicolle, en plus des belles lettres vous y trouverez la grande pensée d’un prix Nobel qui avec un siècle d’avance, vous expliquera très objectivement que nous sommes vraiment en « état de guerre ». Désolé, même si ça ne vous sauve pas, ça vous fera peut-être réfléchir un peu plus positivement, et ce blog exemplaire en tous points, et que vous aviez à tort délaissé, vous redonnera peut-être espoir et dynamisme. Amicalement.
Là vous parliez d’il y a 45 ans ! Beaucoup d’eau a passé sous les ponts … Non, c’est ailleurs…
A première vue des roches de schiste, ainsi que granitique, je dirais que nous sommes plutôt dans le Finistère. Constatant…
@Garorock « Et avant le Big Bang, y’avait quoi? » On peut imaginer que « le monde », l’univers visible et invisible(aux yeux et…
Suite du même. A la deuxième vue, les arbres de terre ferme, pas du tout torturés par le vent, excluent…
Marée basse. Petit coefficient (j’ai contrôlé sur l’annuaire, sinon j’aurais cru à un gros coefficient). J’hésite entre la Côte Sauvage…
@Tim Coulson (« … les pieuvres ont déjà les côtelettes pour construire la prochaine civilisation, avec des cerveaux qui traitent l’information…
Pointe du bile à Pénestin ? Raison de la présence de PJ dans le coin un 24 décembre ? Noël…
Un paysage qu’aurait adoré peindre C.D. Friedrich s’il avait été breton plutôt qu’allemand. https://www.arsmundi.de/media/b3/ea/40/1673270018/amMagazin_CDFriedrich_Teaser.jpg
Ce qui fait sens et exprime la beauté dans ces images c’est le cerne, le dessin particulier issu de la…
(suite) Pourquoi est-ce que j’insiste ici, sur ce blog ? Parce que, de mon point de vue, c’est là que…
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