Ouvert aux commentaires.
Avertissement. À ceux qui prennent leur plume pour s’indigner, en n’ayant encore lu que le titre du billet. Et à ceux qui, n’ayant lu qu’en diagonale, croient que j’affirme exactement le contraire de ce que je dis, et m’opposent alors comme « objections », une longue redite de ce que je viens d’expliquer, soyez gentils : lisez ce qui est écrit et ne marquez votre désaccord qu’une fois certains d’avoir compris. Car l’heure est grave.
La brutalité des propos d’un enfant gâté de la haute, tel M. Boris Johnson, ainsi que ceux sibyllins de l’Élysée, assurant que la décision de maintenir les élections municipales a été prise sur le conseil de scientifiques et non de politiques, et qu’elle n’est donc pas la bourde monumentale qu’elle semble être, mais une décision délibérée, ne nous conduiront-ils pas à dire un jour (ceux d’entre nous qui serons toujours là) que les seuls dirigeants à s’être conduits humainement au cours de cette crise, auront été les chinois ?
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