Ouvert aux commentaires.
Dans le journal en chinois, Xingdao Ribao, au Canada, un article présente les points de vue irréconciliables des professeurs Guang Yi (virologue qui avait travaillé en 2003 sur le SRAS) de Hong-Kong et Wang Cunyu professeur d’ingénierie biologique à Los Angeles et membre de nationalité étrangère d’un institut chinois d’ingénierie.
Le second reproche vertement au premier de sous-estimer le niveau de la médecine en Chine, qui selon lui « relègue à plusieurs rues en arrière » le niveau de Hong-Kong ; le niveau chinois n’a rien envier au niveau mondial.
Je précise que le professeur Guan Yi disait avoir rencontré des difficultés pour s’informer lors de son déplacement à Wuhan, peu nombreux ont été selon lui les laboratoires qui se sont montrés désireux de coopérer.
Wang CunYu conteste que Guan Yi dise que l’on ne peut plus désormais identifier le mode de diffusion du virus au motif que la primo-source contaminante aurait été nettoyée à fond, de sorte que selon les mots de Guan Yi désormais c’est comme si « il n’y a avait plus de scène du crime. »
Wang ironise : « On n’a pas pu jeter tout un marché aux poissons et crustacés aux toilettes et attendre que Guan Yi vienne faire sa petite enquête. »
Laisser un commentaire