Ouvert aux commentaires.
Il y a beaucoup de sujets qui me paraissent délicats, à ne prendre qu’avec des pincettes, et je m’abstiens d’émettre à leur propos une opinion quelconque, pour ne pas jeter de l’huile sur le feu.
Parfois cependant il me semble que, malgré la délicatesse du sujet, ne rien dire serait coupable en soi.
Ainsi à l’instant, à propos d’un article dans Le Monde, intitulé « Il faut parler de pédophilie (mais sans clichés) », par Maïa Mazaurette, j’ai répondu ceci :
Madame, votre complaisance est animée de bons sentiments – du moins espérons-le. Vous avez peut-être des enfants, et dans ce cas-là, je prie pour eux (même s’il s’agit d’un exercice qui m’est dans l’ensemble très peu familier). Quoi qu’il en soit, M. Matzneff vous vouera sans aucun doute un culte.
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