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Un début de l’année sur les chapeaux de roue !
Nos semblables qui se sont achetés des îles au milieu de l’Océan pacifique pour y vivre en autarcie avec leur famille et quelques-uns de leurs amis, ne survivront au reste d’entre nous qu’une cinquantaine d’années tout au plus. Cinquante ans, à condition qu’aucune des neuf nations à la tête d’un arsenal nucléaire ne perde son sang-froid durant l’effondrement généralisé qui se prépare et ne désigne comme responsable « évident » de la catastrophe en cours son « ennemi héréditaire ». Or, selon une étude publiée en 2014 *, il suffirait qu’explosent 100 bombes thermonucléaires (0,7 % de notre stock global) pour provoquer un « hiver nucléaire » débouchant sur une « famine nucléaire globale »
… je ne dis pas ça juste pour faire rigoler !
* Michael J. Mills Owen B. Toon Julia Leeâ€Taylor Alan Robock, « Multidecadal global cooling and unprecedented ozone loss following a regional nuclear conflict », le 7 février 2014
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