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En réponse à votre vidéo, j’aurais une « demande » à vous soumettre. Permettez moi d’ironiser sur ce que vos propos ont fait raisonner en moi, dans votre explication très pertinent de justifier d’une part d’un certain prix, et d’autre du plein « consentement » du sujet, l’un devant faire rendre « raison » à l’autre, je suppose, en vous soumettant à la lecture, un texte. Il ne demande pas non plus de psychanalyse de son auteur (quoi que vous suggestions, s’ils s’en trouvent, ne reviendrait-il pas au même, indirectement…? Auquel cas je comprendrais avec inquiétude, que vous me proposiez un rendez vous.).
Cette « demande » concerne juste l’interrogation suivante: à savoir si l’intérêt personnel que cette analyse textuelle, politique, propose d’une certaine situation, pourrait trouver une « écoute » publique, une « demande » plus large…?
« Disons que le « bénéfice du doute » profite à cette « source inconnue » et qui dans le climat ambiant, devrait être « suspecte du pire »…
Il parait qu’il existe un « paradoxe des Français », que « les Français sont schizophrènes »…? A en croire les « chiens de garde », « influenceurs » de toutes obédiences, et « donneurs de leçons de morale » cela concernerait toutes et tous les « électeurs »…
Est-ce réellement le cas quand il est imposé aux salariés, employés, travailleurs précaires, chômeurs, pauvres… de faire « confiance » au patronat, à l’actionnariat, aux « ordonnances, décrets, 49,3 du macronisme et autres camps politiques « complices du pire »… soutenant l’assistanat sans contreparties des propriétaires privés de titres boursiers, et d’entreprises de la « start-up nation », qui préfèrent « l’ubérisation et ordinisation » défiscalisée et désocialisée du travail segmenté à la tâche, des savoirs et services publics privatisés, technocratisés, dématérialisés digitalisés, et de l’emploi se précarisant quand il ne disparaît pas… ?
Le vocable employé sur un ton assez martial (les mots de paternalisme et patriarcat étant pas assez précis pour décrire le sentiment d’impuissance qui est censé être provoqué) qui s’affiche dans les bureaux de CAF, atteste que s’il faut faire preuve d’autant d’autoritarisme, même dans un service public « destiné » normalement à apporter le dernier filet de sécurité de notre modèle social, un minimum de solidarité, de fraternité, d’égalité, dues comme valeurs « universelles » à la liberté et dignité des plus démunis, la confiance en elles et eux n’existe plus…
Imaginez que ces directives soient affichées en place publique à destination des dits propriétaires privés d’actions, d’entreprises, voulant proposer par exemple, comme « nouveau monde » des « caisses automatiques » dans des grandes surfaces ouvertes le dimanche, la nuit… plus de Trading Haute Fréquence, plus de métros et trains sans cheminots, conducteurs… qui ne seront ni au chômage, en grèves, en arrêts maladie, à la retraite… ni pour ces « machines », seront « universellement solidaires » (fiscalement et socialement parlant il est question de les faire contribuer au financement du modèle social, ses services publics au lieu de s’en servir pour les privatiser en les digitalisant) des chômeurs, retraités… qu’ils remplacent… propriétaires privés… voulant donc croquer de l’assistanat sans contreparties, jusqu’à faire socialiser leurs pertes casinos (subprimes…) leurs dettes privées pourries (Dexia… et autres « immorales optimisations », « droit à l’erreur fiscale »…)… Ne viendraient-elles pas ces « directives » invalider la « confiance » que la macronie et d’autres leurs ont promis aux dits propriétaires privés assistés… et que les Français sont censés avoir en la « création d’emploi et de richesse ruisselante de demain, d’après demain »… pour consentir aujourd’hui à ce qu’au lieu de financer les services publics et le modèle social… le remboursement des dettes publiques et déficits publics… ces assistés en soient « exonérés » (suppression partielle de l’ISF, Flat tax, exit tax, suppression à terme des cotisations sociales patronales, baisses des impôts sur société…)….?
Mais l’usage de ce ton martial, cet excès démesuré d’autoritarisme linguistique affiché, cache peut être qu’il y a pire que de ne pas avoir confiance envers les plus vulnérables, fragiles que ce service public de l’aide sociale, ce dernier rempart de l’action publique et politique, destiné à lutter contre les inégalités et la précarité en hausse face aux « aléas moraux »… a l’obligation de porter assistance…
Ce qui se cache peut être caractérisé par un abus de faiblesse, ciblant autant celles et ceux dont les inégalités territoriales, scolaires, « sociétales » impactent injustement le plus (discriminations impunies dans l’accès aux logements, dont ceux sociaux manquent cruellement, discriminations impunies dans les deux tiers d’embauches faites exclusivement en CDD très courtes durées, temps partiel contraint… brutalités policières commises lors des contrôles aux faciès, « manifestation interdites »…), les « destinés » de leur quotidien fatal, soit les ostracisent, dénigrent, méprisent… que celles et ceux des ayants droits, mais à peine mieux lotis que les premiers, qui sont invités aux mêmes guichets (voir du coté de la hausse des « primes d’activité » de 90 euros/mois qu’aucuns actionnaires ni patrons ne financent socialement , fiscalement)… à suspecter plus pauvres (jusqu’aux réfugiés…) qu’eux de frauder, d’être un « cancer de la société », d’être « fainéants »…
Il existe une faiblesse dans le discours politique du « et de gauche et de droite, ni de gauche ni de droite », lorsqu’il dit par exemple qu’un « pognon de dingue est mis dans les minimas sociaux qui fait que les pauvres le restent et se déresponsabilisent » (propos tenu par le « roi te touche dieu te guérit » en début de quinquennat)… La réalité factuelle atteste que 30% des « bénéficiaires du RAS » (sur plus de 14% de la population, soit 9,3 millions de familles mères isolées, individus vivant sous le seuil de pauvreté) sont toujours en situations de « NON RECOURS » (« zone de non droit de la République »)… Même lorsque Macron alors ministre Hollandais, avant de devenir « Jupiter », les appelait « inégalités de destin »… sous les auspices bienveillantes du rôle de pantoufleur du verrou de Bercy, qu’il occupa en connivence avec des adeptes de « secrets d’affaires » de conflits d’intérêts, du favoritisme, clientélisme, carriérisme… ces situations étaient scandaleuses… des « bénéficiaires du RSA » s’en sont vu radiés, de façon déshumanisée, s’en sont « ultimement » indignés en s’immolant parle feu dans ou devant des bureaux de CAF, alors que la gouvernance politique se mis à plaindre à l’époque, le personnel choqué… de ce service public.
C’est à dire que « non contents » de manquer d’informations (et le non respect du droit de savoir de la citoyenneté que la presse qui n’aime pas la neutralité et impartialité journalistique… manipule… n’y est pas rien) d’avoir peur d’être humiliés par le voisinage, la famille, la « société civile »… jusqu’à certains discours politiques… d’être victimes d’incompréhensions (de manque de confiance en soi quoi) face à la complexification des critères d’attribution de l’aide sociale, d’être ostracisés par ce genre d’affichage et par les discours caricaturaux, par les préjugés, en tout genre… découragés de faire valoir leur droit, en vain, de les défendre alors qu’ils s’amenuisent, se complexifient sans cesse et en toute indifférence (recul du fait d’être en bonne santé arrivé à l’âge de la retraite – qui ne va pas s’arranger avec les « carrières hachées », les pathologies liées au stress du chômage, de l’instabilité et insécurité économique, « sociétale », etc, dues à la mal bouffe, à la pénibilité du travail, etc, malgré les « promesses » d’une « réforme » soit disant plus juste – en plus du fait qu’il faut plus de 6 générations aux plus précaires pour espérer prendre place dans la file d’attente de « l’escalier social ») désespérés de trouver une « représentativité politique, démocratique, institutionnelle » qui les soutiennent… ces 30% de femmes et d’hommes, « bénéficiaires du RSA » font faire, sans le savoir, « en même temps que d’en avoir une conscience politique, tous les ans, plus de 5 milliards d’euros « d’économies aux dépenses sociales », en ne le touchant pas du tout ce fameux « pognon de dingue… ».
Qui s’en indigne lorsque la « réforme structurelle » passée par décrets, de l’assurance chômage (censée faire « économiser aux dépenses sociales », plus de 3 milliards d’euros et 3 ans), présage que les demandeurs « d’emploi de demain » comme actuels… sont et seront encore moins protégés (donc rejetés vers le RSA), n’auront que toujours moins de droits (moraux, sociaux, fiscaux, etc), que ce que la com’ gouvernementale, parlementaire et même d’une partie de l’opposition politique, laissent entendre le contraire…, alors que du personnel des CAF s’inquiétant qu’en devant répondre en « urgence » à la « mesure électoraliste » de hausse de « prime d’activité », il ne puisse remplir sa fonction prioritaire, sa mission publique, de porter assistance aux personnes le plus danger, jusqu’à certains protagonistes politiques se préparant aux prochains scrutins électoraux municipaux, des inquiétudes soulèvent le poids de l’endettement public destiné à « l’amortisseur social » et de l’autonomie fiscale locale (avec en fond l’affaire scandaleuse nommée Dexia), sans parler des « opportunités » que représentent aux secteurs financiers, bancaires et assurantiels, le surendettement des plus pauvres avec les explosions des dépenses contraintes, les couvertures sociales complémentaires (retraites, maladie, etc pour celles et ceux ayant encore les moyen, quand sans couvertures socialisées, privatisées, ni solidarités des centaines de SDF continuent de mourir dans les rues chaque année)… ?
Ce ne seront certainement pas les plus assistés des propriétaires privés… invités à jalouser désormais la première place (conquise en vendant – comme d’autres jouent au « Monopoly tricheur » – du « luxe et de la luxure à la française » à qui des plus riches, font fortune sur la misère du monde, la spéculation sur la faim dans le monde, les ventes d’armements patriotiques, et techniques sécuritaires, le fascisme, l’esclavagisme d’enfant, « l’immorale optimisation » du productivisme pollueur, etc) des plus grosses fortunes mondiales, alors qu’à 26, elles possèdent plus que ce que la moitié de l’espèce humaine, peine à mettre de coté, pas de la rue,mais pour consumer plus d’1,7 planètes par an (c’est une moyenne dont l’écart est de plus de 6 planètes pour les USA, à moins d’un dixième de planète pour un pays pauvre), et hypothéquer ce qui manquera comme ressources, terres rares, biodiversité, eau potable, etc à ses futures générations, et encore i elles survivent aux « externalités négatives » polluantes, au dérèglement climatique, aux guerres commerciales, monétaires, de « civilisation », aux politiques « d’exterminisme »… ce ne seront donc pas eux, leur « ras le bol fiscal », « poujadisme »… qui risquent de s’indigner que les plus vulnérables, fragiles, discriminés, dont la « destiné » fatale est d’être la chair à canon de la « compétitivité » des croissances démographiques, de la raréfaction des ressources… ne font même pas valoir leur droit, que personne ne défend, en plus d’être accusés d’en profiter à tort, « en même temps » que d’être suspects , coupables, de « coûter trop cher »… »
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