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Hier j’achète une plante. Arrivé à la maison, je me rends compte qu’elle est pourrie. Je me rends compte aussi que le vendeur ne pouvait pas l’ignorer. De retour à la pépinière, il est introuvable, une collègue à lui me donne un bon à valoir sur l’équivalent (pas pourri de préférence…).
La veille, je trouve au courrier une facture en date du 27 novembre pour un service rendu le 21, déjà réglé le 22. Particularité : la nouvelle facture injustifiée est pour un montant plus élevé : 33€ de plus.
Il y a quelques années, je suis à Strasbourg. J’achète deux belles assiettes alsaciennes. Au moment de régler je signale au vendeur que ce que j’ai acheté ce ne sont pas les deux assiettes qu’il a mises dans un sac, consciencieusement emballées dans du papier journal, mais celles qu’il a déposées sur un siège qu’il a subrepticement repoussé sous une table. Me retrouvant récemment dans la même ville, tous mes sens pourtant aux aguets, j’achète un bibelot qui s’avère être une copie. J’aurais dû interpréter l’insistance du vendeur à me vendre « pour rien » un second objet comme un remords anticipé pour la facilité avec laquelle il m’avait berné.
Question de vie quotidienne : est-ce courant ou, heureusement, encore l’exception ?
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