Ouvert aux commentaires.
Trouvez-vous irritant comme moi la génération actuelle de chanteuses de jazz qui singent – pardon qui « émulent » – leurs grandes aînées, à cette différence près qu’elles semblent n’avoir pas la moindre notion de quoi parlent les chansons qu’elles chantent ? (Pour elles, quoi que ça raconte, c’est du scat : des onomatopées).
Je n’aurai pas la cruauté de vous présenter une vidéo de D* K* ou de M* G*, pour illustrer ce que je veux dire. Je vous montrerai à la place, the real McCoy.
Julie London (1926-2000)
Lena Horne (1917-2010)
Anita O’Day (1919-2006)
Dinah Washington (1924-1963)
Merci Mesdames, nous restons pendus à vos lèvres.
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