Parfois le bonheur s’atteint et ce n’est pas notre faute à nous, pauvres pécheurs, s’il y est mis fin. Ce n’est pas toujours nous qui crachons dans la soupe et gâchons ce qui nous a été offert, parfois c’est le monde qui s’assèche autour de nous et qui nous laisse, tristes poissons désormais hors de l’eau, crever la gueule ouverte.
À la chanteuse inconnue qui, à Julian, autrefois misérable village de chercheurs d’or californiens, perché dans la montagne surplombant le désert d’Anza-Borrego, nous chanta un soir Love and Happiness.
C’est la méthode descendante (top-down) : avec un LLM en arrière-plan de chaque personnage, répliquant dans chaque instance, un humain…