Les plaidoiries ont repris à la Cour suprême du Royaume-Uni.
Les choses ne s’arrangent pas pour Boris Johnson : on entend dire par un magistrat qu’il n’est pas du genre « à ne pas se livrer à des mauvais coups minables et malhonnêtes ».
Références nationalistes et historiques : en soutien au jugement d’une cour écossaise qui décréta la semaine dernière que la décision de Johnson d’ajourner le parlement britannique pour cinq semaines (prorogation) constituait un abus de pouvoir, le magistrat Aidan O’Neill rappelle que le point de vue écossais traditionnel est que quel que soit votre rang, même si vous êtes le roi lui-même, vous pouvez être appelé à rendre compte de vos actes devant une cour. Il ajoute : « C’est pourquoi le roi Jacques VI (1566-1625) n’avait qu’une hâte : quitter l’Écosse ».
Ambiance, quand ces propos sont tenus à la Cour suprême à Londres !
C’est vrai qu’il faudra aussi compter avec cela : … » La dernière fois qu’elle s’était présentée, en 2016, Jill…