Une amie me signale cette très belle chanson de Concha Buika où il est dit
Que el amor es simple y a las simples cosas las devora el tiempo : Parce que l’amour est simple, et que les choses simples, le temps les dévore.
C’est très beau, mais cela m’évoque aussitôt que la chanson espagnole est plutôt connue pour le message inverse, que pareil à saint Georges dans sa cuirasse, ou l’archange Michel dans son habit de lumière venu du Ciel, l’Amour terrasse en un clin-d’oeil ce maudit dragon du temps qui passe.
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…