Cher monsieur, c’est étrange mais la lecture de votre livre m’a fait penser à la chanson « Moon River » avec ses paroles décousues, où l’on passe de ce que l’on va faire : traverser la rivière… un de ces jours, à un mystérieux dream maker briseur de coeur, que l’on va suivre partout où il ira… Ensuite de deux personnes qui semblent ne pas savoir que faire à part vouloir peut-être parcourir le monde : il y a tant de choses à voir… on se retrouve là où finit l’arc-en-ciel en compagnie de my huckleberry friend, « moon river and me ».
Mais voilà, il y a la musique très nostalgique. C’est cette valse lente que l’on entend au-delà de votre écriture…
Cordiales salutations
Tant qu’on mettra la liberté avant l’égalité, on ne sortira pas du cadre!