Quand Alison Klayman expliqua à Steve Bannon que la conversation ci-dessus ne serait pas reprise dans le documentaire qu’elle préparait (The Brink), il s’est sans doute senti rassuré. Elle ne lui avait pas dit qu’elle ne la transmettrait pas à la presse.
Si vous ne comprenez pas l’anglais, Steve Bannon, le suprémaciste blanc qui fut à une époque conseiller de Trump à la Maison-Blanche, explique que le discours que Boris Johnson (sans doute prochain Premier ministre britannique) prononça le 18 juillet 2018 aussitôt après sa démission du poste de ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Theresa May, avait été écrit conjointement par eux deux. Steve Bannon faisait à la même époque une tournée européenne durant laquelle il soutenait Nigel Farage, leader de l’extrême-droite britannique. Il avait déjà apporté son soutien à Marine Le Pen en mars de la même année.
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…