La rancoeur de ceux qui paient des écoles privées à leurs enfants et des vacances chez les grands-parents, mélangée à la rancoeur de ceux pour qui la paie trouée par des crédits ne finit pas le mois.
Ces deniers, c’est la France qui se lève le matin depuis longtemps pour nourrir, soigner, éduquer, divertir, transporter, protéger, nettoyer. Une France en désillusion à qui on a vendu un verger mais qui doit encore payer pour manger ses fruits.
Une intelligence humaine contemporaine « normale » (disons la mienne) va commencer par calculer les premières valeurs de e(n) (ou les faire…