Le 8 novembre, dans le cadre du Cercle international d’anthropologie psychanalytique, je ferai à 21h un exposé à l’Espace Analytique, 12 rue de Bourgogne, 75007 Paris.
Pour assister à ce séminaire, prière de s’inscrire ici.
« À partir de la question délibérément provocante, « La greffe de tête : corps donneur ou tête donneuse ? », on entend interroger la thèse transhumaniste de la mise en oeuvre – dans un avenir envisageable – du transfert d’un sujet humain pré-existant dans un corps artificiel.
Alors que les transhumanistes manient avec dextérité et en toute connaissance de cause les concepts empruntés à l’informatique et maîtrisent parfaitement la notion de « corps artificiel », pour ce qui est du « sujet humain » qu’il s’agirait de transférer, ils se contentent d’invoquer de manière non-critique des notions empruntées à la « psychologie populaire », où la « conscience » est une entité intuitive imprécise, si ce n’est qu’elle est l’organe d’une « volonté » transparente dont la finalité est de réaliser nos « intentions ».La question est débattue de ce qu’impliquerait en réalité – c’est-à-dire à la lumière de la métapsychologie freudienne – le transfert d’un sujet humain pré-existant dans un corps artificiel. »
@Pascal (suite) Mon intérêt pour la renormalisation est venu de la lecture d’un début d’article d’Alain Connes*, où le « moi »…