En novembre 1989 tombait le mur de Berlin. Le monde soviétique tout entier le suivait aussitôt dans sa chute.
Il y a de cela bientôt 30 ans. Aujourd’hui nous avons à la tête des États-Unis, un président porte-parole servile mais déterminé de Moscou. Rien qu’il ne dise ou décrète qui ne corresponde à la ligne définie au Kremlin en vue d’affaiblir l’influence de l’Europe, en plus de celle de son propre pays bien entendu.
Est-ce, comme l’affirmait hier une enquête du Financial Times, parce que Moscou le tient par les … ? C’est plus joliment dit bien entendu dans le grand quotidien :
« Certains des flux financiers que le Financial Times à mis au jour soulèvent la question de la vulnérabilité de Trump à des pressions indues aujourd’hui qu’il est à la Maison Blanche.
Tower of secrets: the Russian money behind a Donald Trump skyscraper, le 12 juillet 2018
Une fin inattendue à la Guerre froide, d’autant que les partisans enthousiastes de Trump aujourd’hui sont ceux qui abominaient l’Union soviétique autrefois : « Better Dead Than Red! », plutôt mort que Rouge !
Ironie de la Grande Histoire, celle avec un grand « H ».
😀 !