Je vous ai dit dans le billet précédent, que j’étais tombé de ma chaise. Cela vient de m’arriver une seconde fois, celle-ci au figuré heureusement, en constatant que je n’ai pas encore évoqué ici mon admiration pour Keb’ Mo’.
Comme quoi, onze ans ce n’est rien pour des tâches interminables comme dire tout le bien que la musique nous fait (tout le cerveau fonctionne, pas seulement une partie, quand on écoute de la musique. Si, si).
Un jour peut-être découvrirez-vous que le « nous » universel est une illusion. Il ne trouve la paix que dans le « entre…