-1,64% pour le CAC40 à Paris, -1,68% pour le Dax à Francfort. Pire encore, à New York, -1,96% pour les firmes technologiques du Nasdaq, et -2,54% pour les grosses firmes industrielles du DJIA. Source de l’inquiétude aux États-Unis ? Les salaires (gaspation !) en progression !
Ne faudrait-il pas se réjouir plutôt que le pouvoir d’achat augmente à proportion des salaires, et donc la demande économique ?
Ne révélez pas par une question aussi naïve votre incapacité à comprendre la finance ! Si les salaires augmentent, le prix des produits augmentera pour en tenir compte, et il y aura inflation, laquelle devra se refléter dans les taux pour maintenir la marge des prêteurs, et les taux à la hausse conduiront à la dépréciation (comparative) des obligations détenues aujourd’hui par les mêmes prêteurs. D’où leur désespoir en fin de séance.
Mais pour que l’augmentation des salaires ne débouche pas sur une plus grande cherté des produits, ne suffirait-il pas tout simplement que les bonus des patrons et les dividendes des rentiers baissent dans la même exacte proportion ?
Vous étiez naïf tout à l’heure, mais vous voilà soudain carrément insolent ! Je vous soupçonne du coup de comprendre davantage à la finance que vous ne le prétendiez. Mauvais esprit ! Graine d’anarchiste !
Il y a les conditions favorisantes mais il faut aussi les personnages clés : ceux auxquels une multitude s’identifie, rendant…