Je suis frustré quand des événements importants se déroulent, comme c’est le cas en ce moment au Venezuela et que, faute d’en savoir assez, je ne puisse rien dire. Je viens du coup de faire le tour de ceux dont j’imaginais qu’ils puissent exprimer une opinion ici.
Certains me répondent que, comme moi, ils n’en savent pas assez. Mais ce que j’entends dire par ceux qui en savent suffisamment, c’est qu’il n’y a pas hélas assez de bien à dire de l’un ou l’autre camp pour avoir envie d’en parler. Ne pas savoir est frustrant, mais savoir peut être bien triste.
C’est ça, oui. Il faudra encore pas mal de plombiers, même avec GPT12, pour boucher les trous dans la raquette.…