Bruno Iksil, dit « La baleine de Londres », nous dit ce qui s’est vraiment passé

En guise d’introduction, un court extrait de mon billet du 18 août 2013, intitulé LA « BALEINE DE LONDRES » : HYPOCRITEMENT MAIS DÉONTOLOGIQUEMENT

Vous vous souvenez de la « baleine de Londres » ? C’est une affaire dont on parlait, y compris ici, au printemps 2012. Au centre de cette affaire, Bruno Iksil, trader chez J.P. Morgan Chase à Londres, qui avait laissé gonfler une position, officiellement de couverture, dont la taille était devenue telle (d’où la référence à un cétacé) que son débouclage avait causé à la banque une perte de plus de 6 milliards de dollars.

Il y a quelques jours, Bruno Iksil m’a contacté. Nous avons échangé de nombreux mails. Il m’a expliqué son histoire. Je lui ai proposé de la publier sous forme de feuilleton. Vous connaissiez déjà mes reportages sur le front de la finance de choc, voici maintenant ceux de Bruno Iksil. Merci à lui de la confiance qu’il m’accorde. Les épisodes de son feuilleton seront bien entendu ouverts aux commentaires.

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