Bon, vous avez compris l’autre jour que pour Rose, ce n’était pas la toute grande forme. Mais ce matin, les choses s’étaient encore compliquées : elle ne parvenait plus à soulever l’arrière-train.
Le vétérinaire, cet après-midi, nous a dit ce que nous imaginions qu’il nous dirait. Et le reste de l’après-midi s’est passé de la manière que vous, de votre côté, pouvez imaginer aisément. Georges Brassens est content de la vue qui est aujourd’hui la sienne, et Rose n’aura pas à se plaindre non plus.
Mme Mady Delvaux, député européen, a déclaré le 12 janvier à propos du rapport sur la robotique qui sera discuté les jours prochains : « Nous avons donc proposé la création d’une charte visant à empêcher les personnes de devenir émotionnellement dépendantes à leurs robots. »
Nul doute que Bruxelles, qui veille à régler avec minutie et bienveillance l’ensemble des questions essentielles de notre vie quotidienne, nous offrira sous peu une charte qui « nous empêchera de devenir émotionnellement dépendants de nos chiens et de nos chats ». J’attends avec impatience la mise en application de la charte. Elle nous aurait en tout cas rendu un fieffé service aujourd’hui.
@Manuel Guérin C’est à une régression du salariat à laquelle on assiste, cette condition (à temps complet et déracinée) étant…