Le monde, nous, et l’opium du peuple

Ces planches de La survie de l’espèce (2012) sont autobiographiques si l’on veut puisque c’est mon analyste Philippe Julien qui, dans les années 1987-91, avait un jour interrompu avec irritation mon monologue d’auto-accusation par ce très sec : « Arrêtez ! Ce n’est pas vous : c’est le monde ! » Un souvenir libérateur à une époque où notre système socio-économique en déliquescence nous enjoint de répondre à ses méfaits par un repli sur nous-même : chamanisme, et autres daubes aux relents exotiques – ou, faudrait-il dire de manière plus politiquement correcte, « techniques d’auto-perfectionnement » ?

Cliquez sur les pages pour les voir au format de la BD.

Partager :

Contact

Contactez Paul Jorion

Commentaires récents

  1. Info aux experts en IA du blog pour travailler au fond du garage OPEN-R1 : Hugging-Face Hugging Face lance un…

  2. (complément) Le rôle principal est joué par l’IA bottom-up car c’est elle qui est censée donner le sens. Pourquoi est-ce…

  3. Pourvu que ce ne soit pas une voie de garage… Thom : « La voix de la réalité est dans le…

Articles récents

Catégories

Archives

Tags

Allemagne Aristote BCE Bourse Brexit capitalisme ChatGPT Chine Confinement Coronavirus Covid-19 dette dette publique Donald Trump Emmanuel Macron Espagne Etats-Unis Europe extinction du genre humain FMI France Grands Modèles de Langage Grèce intelligence artificielle interdiction des paris sur les fluctuations de prix Italie Japon Joe Biden John Maynard Keynes Karl Marx pandémie Portugal psychanalyse robotisation Royaume-Uni Russie réchauffement climatique Réfugiés spéculation Thomas Piketty Ukraine ultralibéralisme Vladimir Poutine zone euro « Le dernier qui s'en va éteint la lumière »

Meta