Chronique d’architecture, par Gaëlle Péneau

Billet invité.

Dans un monde où l’individu est sommé de s’établir comme auto-entrepreneur pour trouver les ressources nécessaires à sa survie, la notion enthousiasmante d’un travail collectif pour le bien commun est en voie d’extinction. Le témoignage qui est ici présenté rend compte d’une expérience dont il n’est pas assez souvent fait écho : l’extraordinaire capacité d’un groupe d’individus qui, rassemblé autour d’un projet commun, peut mettre au service de ce projet toutes les richesses individuelles dont chacun dispose.

Sans cette capacité de mise en commun aucun projet architectural ne peut voir le jour, aucun projet de société n’est envisageable. C’est donc bien le projet commun qui doit être au centre des activités humaines et permettre à chacun de développer sa créativité dans tous les domaines.

C’est ainsi qu’il a été possible de dérouler un magnifique ruban de soie aux mille couleurs.

Ceci pour vous distraire, le temps d’une vidéo, d’une actualité qui ne s’exprime plus qu’en bleu et blanc.

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  1. Je m’étais laissé impressionner par Wikipédia qui affirmait qu’il n’y avait pas de schiste à Saint-Jean-le-Thomas. Du coup j’étais aller…

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